Le Vieux Lausanne
Véritable institution lausannoise depuis trois décennies, le Vieux-Lausanne accueille les clients dans une ambiance de vrai bon vieux bistrot comme on les aime: chaleureux, animé, et avec le sourire. Et quelle générosité, dans les assiettes, dans la formule du midi très accessible, et jusqu’au petit digestif souvent offert, une coutume trop souvent négligée. En hors-d’œuvre, l’assiette scandinave, selon une recette de la famille de Gary Ahlgren, dont le papa suédois a ouvert ce restaurant en 1978, mêle un saumon en deux façons, tartare et gravlax. Un poisson de toute beauté, mariné cinq jours, dont on regrette de le voir si finement haché dans le tartare.
S’il fait trop froid pour une escapade nordique, de belles propositions bistrotières viennent à la rescousse, notamment des poireaux vinaigrette revisités. Les plats sont traditionnels et réconfortants, tels ces agnolotti au bœuf braisé, jus de veau et parmesan 24 mois, ou ce beau coquelet rôti au miel et aux herbes du jardin attenant. Les desserts, enfin, méritent le détour: ils sont l’œuvre de la pâtissière Laëtitia Bazin, travailleuse acharnée qui propose de beaux classiques maîtrisés, mais aussi des desserts à l’assiette qui mêlent textures, saveurs et contrastes, et subliment ainsi les fruits de saison.
Véritable institution lausannoise depuis trois décennies, le Vieux-Lausanne accueille les clients dans une ambiance de vrai bon vieux bistrot comme on les aime: chaleureux, animé, et avec le sourire. Et quelle générosité, dans les assiettes, dans la formule du midi très accessible, et jusqu’au petit digestif souvent offert, une coutume trop souvent négligée. En hors-d’œuvre, l’assiette scandinave, selon une recette de la famille de Gary Ahlgren, dont le papa suédois a ouvert ce restaurant en 1978, mêle un saumon en deux façons, tartare et gravlax. Un poisson de toute beauté, mariné cinq jours, dont on regrette de le voir si finement haché dans le tartare.
S’il fait trop froid pour une escapade nordique, de belles propositions bistrotières viennent à la rescousse, notamment des poireaux vinaigrette revisités. Les plats sont traditionnels et réconfortants, tels ces agnolotti au bœuf braisé, jus de veau et parmesan 24 mois, ou ce beau coquelet rôti au miel et aux herbes du jardin attenant. Les desserts, enfin, méritent le détour: ils sont l’œuvre de la pâtissière Laëtitia Bazin, travailleuse acharnée qui propose de beaux classiques maîtrisés, mais aussi des desserts à l’assiette qui mêlent textures, saveurs et contrastes, et subliment ainsi les fruits de saison.