
La Grappe d'Or
Incontournable du centre de la ville, La Grappe d’Or conserve son aura historique avec sa décoration vintage, son âtre qui trône dans la salle, utilisé comme rôtisserie, et son ambiance chaleureuse, décontractée et accueillante.
La carte est festive et gourmande. Elle égraine aussi bien de la volaille et du cochon que des primi piatti typiquement transalpins.
Le carpaccio de cerf roulé à la moutarde et aux épices, accompagné d’un jus réduit aux échalotes et au porto, offre une entrée raffinée et savoureuse.
Les agnolotti à la piémontaise sont un véritable délice, digne des meilleures tables turinoises.
La côte de cochon cuite au sautoir, nappée d’une sauce poivrade parfumée au Jack Daniel’s, mêle la puissance des goûts avec le croustillant d’une onctueuse polenta.
Autre plat de circonstance, la noisette de chevreuil d’Autriche, saisie à la plancha, et sa sauce grand veneur sont une invitation à la gourmandise, que les spätzlis maison viennent sublimer.
Pour le dessert, le «Paris-Milan», avec sa crème pralinée, ses noisettes du Piémont et ses amaretti, fait oublier le paris-brest. Et la tarte crémeuse au chocolat noir, accompagnée de poire caramélisée et d’une tuile au pain d’épices, clôture généreusement le repas.
La carte des vins a été composée par un connaisseur en grands crus, offrant l’embarras du choix parmi toutes les grandes appellations, avec une prédilection pour les vins italiens.


Incontournable du centre de la ville, La Grappe d’Or conserve son aura historique avec sa décoration vintage, son âtre qui trône dans la salle, utilisé comme rôtisserie, et son ambiance chaleureuse, décontractée et accueillante.
La carte est festive et gourmande. Elle égraine aussi bien de la volaille et du cochon que des primi piatti typiquement transalpins.
Le carpaccio de cerf roulé à la moutarde et aux épices, accompagné d’un jus réduit aux échalotes et au porto, offre une entrée raffinée et savoureuse.
Les agnolotti à la piémontaise sont un véritable délice, digne des meilleures tables turinoises.
La côte de cochon cuite au sautoir, nappée d’une sauce poivrade parfumée au Jack Daniel’s, mêle la puissance des goûts avec le croustillant d’une onctueuse polenta.
Autre plat de circonstance, la noisette de chevreuil d’Autriche, saisie à la plancha, et sa sauce grand veneur sont une invitation à la gourmandise, que les spätzlis maison viennent sublimer.
Pour le dessert, le «Paris-Milan», avec sa crème pralinée, ses noisettes du Piémont et ses amaretti, fait oublier le paris-brest. Et la tarte crémeuse au chocolat noir, accompagnée de poire caramélisée et d’une tuile au pain d’épices, clôture généreusement le repas.
La carte des vins a été composée par un connaisseur en grands crus, offrant l’embarras du choix parmi toutes les grandes appellations, avec une prédilection pour les vins italiens.


