
Jacques Restaurant
«Découverte romande de l’année» 2022, Jacques Allisson a déménagé dans un espace rénové, plus élégant, plus grand et plus en adéquation avec ses ambitions. Prolongé d’une superbe terrasse aussi. Dans ce nouvel écrin, il maintient son avantageuse offre de midi (39 francs pour trois plats), tout comme la carte et les menus en quatre ou cinq temps empreints de la délicatesse qui est devenue sa signature.
Après un mocktail printanier associant agréablement cerise, hibiscus et grenade, place à l'entrée du jour. La saladine de concombre au yaourt à la grecque et menthe poivrée s'adjoint de salins copeaux de haddock fumé. Le carpaccio de bœuf wagyu, lui, reflète bien l'univers du chef, qui aime jouer des saveurs et des textures: la glace à l'oignon rouge répond ainsi au crémeux satay, tandis que les oignons frits et les petits pois frais apportent du croquant et une huile pimentée du tonus.
En plat du jour, le paleron de bœuf confit côtoie une onctueuse polenta rustique aux éclats de morilles. La chair effilochée se pare d’un intense jus de bœuf réduit, doublé d’une écume à l’ail des ours. Poisson sauvage du moment, le tronçon de lotte de belle taille est servi sur un crémeux aux fèves et petits pois. Puis il y a ces croquantes asperges blanches et vertes grillées escortées de chanterelles. Un beurre mousseux aux coquillages, à la verveine et au verjus de Lavaux apporte une agréable acidité à l’ensemble.
En fin de repas, place à une légère écume à la vanille, à un vigoureux sorbet à la griotte et à des brisures de spéculos. Bon, mais un peu simple. Au contraire de la nage de fraises au sureau et de son duo de petits pois frais et en sorbet.


«Découverte romande de l’année» 2022, Jacques Allisson a déménagé dans un espace rénové, plus élégant, plus grand et plus en adéquation avec ses ambitions. Prolongé d’une superbe terrasse aussi. Dans ce nouvel écrin, il maintient son avantageuse offre de midi (39 francs pour trois plats), tout comme la carte et les menus en quatre ou cinq temps empreints de la délicatesse qui est devenue sa signature.
Après un mocktail printanier associant agréablement cerise, hibiscus et grenade, place à l'entrée du jour. La saladine de concombre au yaourt à la grecque et menthe poivrée s'adjoint de salins copeaux de haddock fumé. Le carpaccio de bœuf wagyu, lui, reflète bien l'univers du chef, qui aime jouer des saveurs et des textures: la glace à l'oignon rouge répond ainsi au crémeux satay, tandis que les oignons frits et les petits pois frais apportent du croquant et une huile pimentée du tonus.
En plat du jour, le paleron de bœuf confit côtoie une onctueuse polenta rustique aux éclats de morilles. La chair effilochée se pare d’un intense jus de bœuf réduit, doublé d’une écume à l’ail des ours. Poisson sauvage du moment, le tronçon de lotte de belle taille est servi sur un crémeux aux fèves et petits pois. Puis il y a ces croquantes asperges blanches et vertes grillées escortées de chanterelles. Un beurre mousseux aux coquillages, à la verveine et au verjus de Lavaux apporte une agréable acidité à l’ensemble.
En fin de repas, place à une légère écume à la vanille, à un vigoureux sorbet à la griotte et à des brisures de spéculos. Bon, mais un peu simple. Au contraire de la nage de fraises au sureau et de son duo de petits pois frais et en sorbet.


