
Le Petit Corbeau
Le charme opère à chaque fois dans ce restaurant de village, familial, intimiste et accueillant. En plus du café et de la partie salle à manger éclairés par de grandes lanternes à bougies, il y a aussi une belle terrasse couverte pour l’été. Et partout, c’est l’infatigable Bryan Lauper, le patron passionné, qui vous reçoit. Avec le sourire, avec une énergie positive débordante et avec des conseils en vins tout simplement épatants. La cave vaut la visite, d’ailleurs. Creusée dans la roche, elle rappelle, en plus petit, les crayères de Champagne. Et elle recèle des trésors locaux, mais aussi glanés ailleurs en Suissse et à l’étranger (Château Margaux, Mouton Rothschild, Pontet-Canet…).
Dans l’assiette aussi, tout est mis en œuvre pour ravir les convives. Ainsi cette crème de panais aux graines de moutarde de Valeyres-sous-Rances servie en signe de bienvenue. Puis arrive le gravlax de maquereau à la betterave chiogga, rafraîchissant et tonique. Le poivre du Sichuan qui l’agrémente provient du village (mais oui!), tout comme les agrumes qui rehaussent cette aimable entrée. Tendre, l’agneau vient en voisin, agrémenté d’une sauce remarquable à la fève tonka et aux épices. Alors on se réjouit d’autant plus de voir arriver la caille apprêtée comme une blanquette, avec de la carotte, du panais et du navet. C’est sobre, goûteux, délicieux. Au moment du dessert, voici une délectable tartelette au citron et leckerli pour finir le repas en douceur et en beauté. Et, c’est à signaler, les tarifs sont ici plus que raisonnables.
Le charme opère à chaque fois dans ce restaurant de village, familial, intimiste et accueillant. En plus du café et de la partie salle à manger éclairés par de grandes lanternes à bougies, il y a aussi une belle terrasse couverte pour l’été. Et partout, c’est l’infatigable Bryan Lauper, le patron passionné, qui vous reçoit. Avec le sourire, avec une énergie positive débordante et avec des conseils en vins tout simplement épatants. La cave vaut la visite, d’ailleurs. Creusée dans la roche, elle rappelle, en plus petit, les crayères de Champagne. Et elle recèle des trésors locaux, mais aussi glanés ailleurs en Suissse et à l’étranger (Château Margaux, Mouton Rothschild, Pontet-Canet…).
Dans l’assiette aussi, tout est mis en œuvre pour ravir les convives. Ainsi cette crème de panais aux graines de moutarde de Valeyres-sous-Rances servie en signe de bienvenue. Puis arrive le gravlax de maquereau à la betterave chiogga, rafraîchissant et tonique. Le poivre du Sichuan qui l’agrémente provient du village (mais oui!), tout comme les agrumes qui rehaussent cette aimable entrée. Tendre, l’agneau vient en voisin, agrémenté d’une sauce remarquable à la fève tonka et aux épices. Alors on se réjouit d’autant plus de voir arriver la caille apprêtée comme une blanquette, avec de la carotte, du panais et du navet. C’est sobre, goûteux, délicieux. Au moment du dessert, voici une délectable tartelette au citron et leckerli pour finir le repas en douceur et en beauté. Et, c’est à signaler, les tarifs sont ici plus que raisonnables.


