La Terrasse
Aux beaux jours, la terrasse de l’imposante bâtisse du XIXe siècle dévoile une vue imprenable sur le lac de Neuchâtel et les Alpes, tout cela à quelques pas de la gare. A l’intérieur, la grande salle parée d’imposants lustres s’habille de tons verts et taupe ainsi que d’un chaleureux parquet boisé créant une atmosphère aussi paisible qu’élégante.
Venu de l'hôtel La Prairie, à Yverdon-les-Bains, le chef Daniel Aires propose ici une cuisine de saison, ode aux produits locaux, à l’image de cette courge en trois textures, ornée d’un fin jambon cru des Ponts-de-Martel. Le velouté arrive en élégante théière en fonte, le gravlax de filet de bœuf simmental est tendre et s’encanaille de quelques délicieux pickles de chanterelles, de lentilles fondantes et de noisettes croquantes.
Le filet de cabillaud, sauce chimichurri, est parfaitement cuit et bien assaisonné. On regrette cependant qu’il faille faire un choix entre féculent et légumes en accompagnement.
Les amateurs de gibier à plume se délecteront de l’audacieuse tourte au pigeon et foie gras en feuille de chou, enrobée d’un feuilletage croustillant. Une sauce au porto vient adoucir et sublimer les puissants arômes du pigeon. Une réussite.
Au dessert, on hésite entre un café accompagné de mignardises et une pomme pochée au cœur fondant au caramel, pour finalement craquer pour la tarte au citron. La carte des vins valorise les spécialités neuchâteloises et propose un large choix de crus au verre.


Aux beaux jours, la terrasse de l’imposante bâtisse du XIXe siècle dévoile une vue imprenable sur le lac de Neuchâtel et les Alpes, tout cela à quelques pas de la gare. A l’intérieur, la grande salle parée d’imposants lustres s’habille de tons verts et taupe ainsi que d’un chaleureux parquet boisé créant une atmosphère aussi paisible qu’élégante.
Venu de l'hôtel La Prairie, à Yverdon-les-Bains, le chef Daniel Aires propose ici une cuisine de saison, ode aux produits locaux, à l’image de cette courge en trois textures, ornée d’un fin jambon cru des Ponts-de-Martel. Le velouté arrive en élégante théière en fonte, le gravlax de filet de bœuf simmental est tendre et s’encanaille de quelques délicieux pickles de chanterelles, de lentilles fondantes et de noisettes croquantes.
Le filet de cabillaud, sauce chimichurri, est parfaitement cuit et bien assaisonné. On regrette cependant qu’il faille faire un choix entre féculent et légumes en accompagnement.
Les amateurs de gibier à plume se délecteront de l’audacieuse tourte au pigeon et foie gras en feuille de chou, enrobée d’un feuilletage croustillant. Une sauce au porto vient adoucir et sublimer les puissants arômes du pigeon. Une réussite.
Au dessert, on hésite entre un café accompagné de mignardises et une pomme pochée au cœur fondant au caramel, pour finalement craquer pour la tarte au citron. La carte des vins valorise les spécialités neuchâteloises et propose un large choix de crus au verre.