
Brasserie Le Jura
La Brasserie Le Jura compte parmi les adresses préférées des Neuchâtelois au centre-ville. L’ambiance animée y est conviviale, les vins – locaux ou venus d’ailleurs – sont choisis avec soin, mais c’est la cuisine du chef David Silvi qui reste au cœur de toutes les attentions. Outre des mets de brasserie parfaitement exécutés, la maison propose aussi des créations plus élaborées, en phase avec les saisons. Lors de notre dernière visite, à l’automne – une fois n’est pas coutume –, nous avons découvert une chasse franche et convaincante. Le repas débute par un délicieux tartare de cerf, lié par une huile de noix et rehaussé de copeaux de tête de moine. L’œuf parfait, un rien trop coulant pour mériter pleinement son appellation, s’accorde en revanche à merveille avec la duxelles de champignons au jus de chasse qui l’accompagne. En plat, le suprême de pigeon sauvage (comme en témoignent quelques plombs) séduit par sa texture délicate et son goût affirmé. Plus docile, le pavé de sandre, à la cuisson exemplaire, s’accompagne d’une sauce légère au vin rouge et de quelques légumes de saison. Côté douceurs, on s’enthousiasme pour un mi-cuit chocolat–marron idéalement régressif ou pour une délicate crème brûlée à l’absinthe Larusée
La Brasserie Le Jura compte parmi les adresses préférées des Neuchâtelois au centre-ville. L’ambiance animée y est conviviale, les vins – locaux ou venus d’ailleurs – sont choisis avec soin, mais c’est la cuisine du chef David Silvi qui reste au cœur de toutes les attentions. Outre des mets de brasserie parfaitement exécutés, la maison propose aussi des créations plus élaborées, en phase avec les saisons. Lors de notre dernière visite, à l’automne – une fois n’est pas coutume –, nous avons découvert une chasse franche et convaincante. Le repas débute par un délicieux tartare de cerf, lié par une huile de noix et rehaussé de copeaux de tête de moine. L’œuf parfait, un rien trop coulant pour mériter pleinement son appellation, s’accorde en revanche à merveille avec la duxelles de champignons au jus de chasse qui l’accompagne. En plat, le suprême de pigeon sauvage (comme en témoignent quelques plombs) séduit par sa texture délicate et son goût affirmé. Plus docile, le pavé de sandre, à la cuisson exemplaire, s’accompagne d’une sauce légère au vin rouge et de quelques légumes de saison. Côté douceurs, on s’enthousiasme pour un mi-cuit chocolat–marron idéalement régressif ou pour une délicate crème brûlée à l’absinthe Larusée


