Hôtel Royal Savoy
Le restaurant de ce cinq-étoiles roule désormais sur une trajectoire sans détour. Dans des salles aux tons soutenus, un personnel souriant assure un service aussi impeccable que chaleureux, le professionnalisme n’empêchant jamais le sourire. On est dans un palace, mais décontracté et chaleureux. Après les amuse-bouches arrive déjà la belle miche de pain cuite par Bread Store qui accompagnera le repas de sa mie savoureuse et de sa croûte croustillante.
Un peu à l’image de la cuisine de Paolo Principe. Le chef propose ici des assiettes à la fois gourmandes et précises, colorées et goûteuses. Qu’on en juge par ce carpaccio de Saint-Jacques de belle fraîcheur, dont la couronne accueille un bel équilibre de grains de grenade, de noisettes torréfiées, de gelée aux airelles et de filaments de truffe noire. C’est audacieux mais parfaitement maîtrisé. Comme cet œuf vraiment parfait, posé sur une compotée de chou noir sauté et camouflé dans une espuma de pommes de terre joliment aérienne. Le tout se recouvre d’un petit toast au caviar impérial, pour une entrée de grande classe.
On poursuit avec ce filet de barbue parfaitement cuit, tendre, que parfume un jus de volaille tranché au beurre meunière, juste collant comme il faut dans sa réduction, à côté de mini-fenouils rôtis et de suprêmes d’orange passés sur la flamme. C’est léger et goûteux. La tagliata de bœuf est magnifique, une viande parfumée, tendre, cuite à la perfection avant d’être ainsi tranchée. Elle se pose sur de la chicorée amère, à côté d’endives très bien braisées et de pommes de terre grenailles. Pour couronner le tout, un peu de fromage de Belp est râpé à la manière d’une truffe.
Les desserts se présentent en sélection d’ici et d’Italie. Les desserts du chef pâtissier Laurent Schmitt restent dans la même veine d’élégance et de goût. Prenez cette pavlova d’agrumes, présentée en une jolie couronne que surmontent des copeaux de citron, de mandarine et de pamplemousse, comme de fines tranches de main de Bouddha. Ça se mange comme un rien.
Pour arroser tout cela, la cave est riche en vins suisses et européens, venant de très belles maisons, à des tarifs tout à fait corrects. Une jolie sélection au verre permet de panacher.
Le restaurant de ce cinq-étoiles roule désormais sur une trajectoire sans détour. Dans des salles aux tons soutenus, un personnel souriant assure un service aussi impeccable que chaleureux, le professionnalisme n’empêchant jamais le sourire. On est dans un palace, mais décontracté et chaleureux. Après les amuse-bouches arrive déjà la belle miche de pain cuite par Bread Store qui accompagnera le repas de sa mie savoureuse et de sa croûte croustillante.
Un peu à l’image de la cuisine de Paolo Principe. Le chef propose ici des assiettes à la fois gourmandes et précises, colorées et goûteuses. Qu’on en juge par ce carpaccio de Saint-Jacques de belle fraîcheur, dont la couronne accueille un bel équilibre de grains de grenade, de noisettes torréfiées, de gelée aux airelles et de filaments de truffe noire. C’est audacieux mais parfaitement maîtrisé. Comme cet œuf vraiment parfait, posé sur une compotée de chou noir sauté et camouflé dans une espuma de pommes de terre joliment aérienne. Le tout se recouvre d’un petit toast au caviar impérial, pour une entrée de grande classe.
On poursuit avec ce filet de barbue parfaitement cuit, tendre, que parfume un jus de volaille tranché au beurre meunière, juste collant comme il faut dans sa réduction, à côté de mini-fenouils rôtis et de suprêmes d’orange passés sur la flamme. C’est léger et goûteux. La tagliata de bœuf est magnifique, une viande parfumée, tendre, cuite à la perfection avant d’être ainsi tranchée. Elle se pose sur de la chicorée amère, à côté d’endives très bien braisées et de pommes de terre grenailles. Pour couronner le tout, un peu de fromage de Belp est râpé à la manière d’une truffe.
Les desserts se présentent en sélection d’ici et d’Italie. Les desserts du chef pâtissier Laurent Schmitt restent dans la même veine d’élégance et de goût. Prenez cette pavlova d’agrumes, présentée en une jolie couronne que surmontent des copeaux de citron, de mandarine et de pamplemousse, comme de fines tranches de main de Bouddha. Ça se mange comme un rien.
Pour arroser tout cela, la cave est riche en vins suisses et européens, venant de très belles maisons, à des tarifs tout à fait corrects. Une jolie sélection au verre permet de panacher.