Hôtel Beau-Rivage Palace
Comptant au nombre des établissements du prestigieux Beau-Rivage Palace, le Miyako séduit par son charme et l’accueil réservé à ses clients. La brigade de salle est aux petits soins, souriante, efficace et compétente. Sitôt installé dans l’une des deux salles au style épuré ou en terrasse à des tables hautes, le regard tourné vers le magnifique jardin et le lac, on se délecte ici d’une cuisine de l’Empire du Soleil levant d’une grande fraîcheur et savoureuse. On observe volontiers la brigade affairée au teppanyaki dans l’espace qui lui est dédié et nos papilles sont émoustillées par les effluves qui s’en échappent.
La carte est vaste et le choix cornélien. Nigiri, makis, temaki sushis, sashimis y sont largement représentés et préparés à la minute. Tout aussi savoureuses, les préparations à base de viande et de poisson sont apprêtées avec des produits de premier ordre. Le chef propose également quelques menus variés et équilibrés. On y trouve même un menu détox auquel on prête quelques vertus. Plus traditionnel, le menu «Soleil levant» offre une palette de petites bouchées, dont ce sushi au thon saisi à feu vif conférant au poisson un soupçon de croustillant fort agréable. On note au passage le soin particulier accordé au dressage graphique et esthétique de ce plat de crudités. Le filet de thon au gingembre et soja est juste snacké à la perfection et assaisonné avec brio. Très goûteux aussi, le poulet fermier teriyaki aux notes caramélisées est tendre et fondant. C’est simplement délicieux.
Une escapade sous les latitudes nippones ne saurait se clôturer sans un dessert typique, tel ce savoureux sorbet de prune arrosé d’un trait de vin du même fruit. C’est diablement rafraîchissant. Confectionnés de manière traditionnelle, les mochis nécessitent de longues heures de préparation et beaucoup de doigté. Pour sa part, le chef s’approvisionne à l’extérieur. Même de fabrication artisanale industrielle, ces petites sphères glacées demeurent agréables au palais dans leur couverture soyeuse.
La carte des boissons recèle un choix étoffé de crus de nos coteaux et d’ailleurs. On y découvre même un vin japonais. Les amateurs de malt y trouveront aussi leur bonheur et pourquoi ne pas terminer le repas en sirotant un thé aux parfums de là-bas…
Comptant au nombre des établissements du prestigieux Beau-Rivage Palace, le Miyako séduit par son charme et l’accueil réservé à ses clients. La brigade de salle est aux petits soins, souriante, efficace et compétente. Sitôt installé dans l’une des deux salles au style épuré ou en terrasse à des tables hautes, le regard tourné vers le magnifique jardin et le lac, on se délecte ici d’une cuisine de l’Empire du Soleil levant d’une grande fraîcheur et savoureuse. On observe volontiers la brigade affairée au teppanyaki dans l’espace qui lui est dédié et nos papilles sont émoustillées par les effluves qui s’en échappent.
La carte est vaste et le choix cornélien. Nigiri, makis, temaki sushis, sashimis y sont largement représentés et préparés à la minute. Tout aussi savoureuses, les préparations à base de viande et de poisson sont apprêtées avec des produits de premier ordre. Le chef propose également quelques menus variés et équilibrés. On y trouve même un menu détox auquel on prête quelques vertus. Plus traditionnel, le menu «Soleil levant» offre une palette de petites bouchées, dont ce sushi au thon saisi à feu vif conférant au poisson un soupçon de croustillant fort agréable. On note au passage le soin particulier accordé au dressage graphique et esthétique de ce plat de crudités. Le filet de thon au gingembre et soja est juste snacké à la perfection et assaisonné avec brio. Très goûteux aussi, le poulet fermier teriyaki aux notes caramélisées est tendre et fondant. C’est simplement délicieux.
Une escapade sous les latitudes nippones ne saurait se clôturer sans un dessert typique, tel ce savoureux sorbet de prune arrosé d’un trait de vin du même fruit. C’est diablement rafraîchissant. Confectionnés de manière traditionnelle, les mochis nécessitent de longues heures de préparation et beaucoup de doigté. Pour sa part, le chef s’approvisionne à l’extérieur. Même de fabrication artisanale industrielle, ces petites sphères glacées demeurent agréables au palais dans leur couverture soyeuse.
La carte des boissons recèle un choix étoffé de crus de nos coteaux et d’ailleurs. On y découvre même un vin japonais. Les amateurs de malt y trouveront aussi leur bonheur et pourquoi ne pas terminer le repas en sirotant un thé aux parfums de là-bas…