Hôtel Le Terminus
Voilà déjà bientôt deux ans que le chef Samuel Destaing a repris les rênes des fourneaux du Quai de l’Ours, juste en face de la gare d’Orsières. L’adresse attire les gourmets de toute la région, qui se bousculent pour obtenir une table côté bistrot, tandis que le restaurant gastronomique offre une dizaine de places aux convives qui souhaitent se régaler au calme dans une ambiance plus feutrée. Le service est impeccable et les menus abordables.
Après un pressé de betterave, escorté d’un velouté de lentilles à l’espuma d’oseille, le menu «887», rappelant l’altitude d’Orsières, démarre avec un carpaccio de Saint-Jacques marié à une effilochée de crabe et à quelques billes de caviar d’Aquitaine, sur un lit superflu de saladine très citronnée. Un plat qui juxtapose trop de saveurs. Le tronçon de lotte poché au safran affiche, lui, une trame plus précise. Il est servi avec une kyrielle de petits légumes croquants, quelques moules et une exquise réduction de bouillabaisse. Une réussite, à l’instar de cette pomme de ris de veau croustillante et fondante, juchée sur un mini vol-au-vent garni de volaille fondante, de champignons de Paris et d’une goûteuse sauce suprême. En plat principal, l’entrecôte de bœuf d’Hérens est cuite à la perfection. Elle est accompagnée d’une purée de pommes de terre amandines et d’une bluffante sphère croustillante remplie d’une béarnaise un brin trop vinaigrée.
Côté douceurs, on retiendra cette crêpe Suzette flambée au Grand Marnier et sa crème glacée à la meringue. Joli choix de vins au verre avec de belles pépites du Valais.


Voilà déjà bientôt deux ans que le chef Samuel Destaing a repris les rênes des fourneaux du Quai de l’Ours, juste en face de la gare d’Orsières. L’adresse attire les gourmets de toute la région, qui se bousculent pour obtenir une table côté bistrot, tandis que le restaurant gastronomique offre une dizaine de places aux convives qui souhaitent se régaler au calme dans une ambiance plus feutrée. Le service est impeccable et les menus abordables.
Après un pressé de betterave, escorté d’un velouté de lentilles à l’espuma d’oseille, le menu «887», rappelant l’altitude d’Orsières, démarre avec un carpaccio de Saint-Jacques marié à une effilochée de crabe et à quelques billes de caviar d’Aquitaine, sur un lit superflu de saladine très citronnée. Un plat qui juxtapose trop de saveurs. Le tronçon de lotte poché au safran affiche, lui, une trame plus précise. Il est servi avec une kyrielle de petits légumes croquants, quelques moules et une exquise réduction de bouillabaisse. Une réussite, à l’instar de cette pomme de ris de veau croustillante et fondante, juchée sur un mini vol-au-vent garni de volaille fondante, de champignons de Paris et d’une goûteuse sauce suprême. En plat principal, l’entrecôte de bœuf d’Hérens est cuite à la perfection. Elle est accompagnée d’une purée de pommes de terre amandines et d’une bluffante sphère croustillante remplie d’une béarnaise un brin trop vinaigrée.
Côté douceurs, on retiendra cette crêpe Suzette flambée au Grand Marnier et sa crème glacée à la meringue. Joli choix de vins au verre avec de belles pépites du Valais.