Café des Négociants
Dans la constellation de belles adresses de l’univers de Philippe Chevrier, il y a le Café des Négociants. Niché au cœur de Carouge, il joue la carte bistrot, dans un cadre authentique gardé «dans son jus». La salle est dirigée avec maestria par Patrick Gal, mêlant l’excellence de l’accueil avec une certaine décontraction.
Les fourneaux sont orchestrés par Romain Loiseau, qui propose une cuisine bistrotière et savoureuse. La carte est concise, avec quelques mets phares comme l'entrecôte carougeoise ou les cuisses de grenouilles persillées. Ici, ce n’est pas l’originalité qui prime, mais la parfaite maîtrise des cuissons et des jus.
Entre autres petits plaisirs, il y a le foie gras de canard mi-cuit, subtilement accompagné par un chutney aux fraises et à la rhubarbe. Parmi les entrées, il y a la crème d’asperges, ses chips de pommes de terre et son œuf cuit «parfaitement», ou cette salade de saumon fumé à l’avocat, pamplemousse et betterave, assaisonnée au furikake, qui lui donne une jolie saveur nippone.
Au rang des classiques, le parmentier de joues de bœuf braisées, liées au foie gras, dressé sous une délicate mousseline de pommes de terre gratinée, est rendu particulièrement savoureux par un excellent jus. Comme cette délicate sauce au vin jaune qui sublime le suprême de volaille aux asperges et aux morilles.
Dans la tradition des entremets, la carte propose quelques fromages, dont un Saint-Marcellin IGP, servi «à la lyonnaise», parfaitement affiné.
Et, en dessert, le baba au rhum et sa crème fouettée à la vanille Bourbon pourraient faire chavirer le cœur d’un Napolitain.
Les crus genevois sont en bonne place dans la carte des vins, et peuvent également se déguster dans le charmant Cellier au sous-sol, qui peut accueillir une dizaine de convives.
Dans la constellation de belles adresses de l’univers de Philippe Chevrier, il y a le Café des Négociants. Niché au cœur de Carouge, il joue la carte bistrot, dans un cadre authentique gardé «dans son jus». La salle est dirigée avec maestria par Patrick Gal, mêlant l’excellence de l’accueil avec une certaine décontraction.
Les fourneaux sont orchestrés par Romain Loiseau, qui propose une cuisine bistrotière et savoureuse. La carte est concise, avec quelques mets phares comme l'entrecôte carougeoise ou les cuisses de grenouilles persillées. Ici, ce n’est pas l’originalité qui prime, mais la parfaite maîtrise des cuissons et des jus.
Entre autres petits plaisirs, il y a le foie gras de canard mi-cuit, subtilement accompagné par un chutney aux fraises et à la rhubarbe. Parmi les entrées, il y a la crème d’asperges, ses chips de pommes de terre et son œuf cuit «parfaitement», ou cette salade de saumon fumé à l’avocat, pamplemousse et betterave, assaisonnée au furikake, qui lui donne une jolie saveur nippone.
Au rang des classiques, le parmentier de joues de bœuf braisées, liées au foie gras, dressé sous une délicate mousseline de pommes de terre gratinée, est rendu particulièrement savoureux par un excellent jus. Comme cette délicate sauce au vin jaune qui sublime le suprême de volaille aux asperges et aux morilles.
Dans la tradition des entremets, la carte propose quelques fromages, dont un Saint-Marcellin IGP, servi «à la lyonnaise», parfaitement affiné.
Et, en dessert, le baba au rhum et sa crème fouettée à la vanille Bourbon pourraient faire chavirer le cœur d’un Napolitain.
Les crus genevois sont en bonne place dans la carte des vins, et peuvent également se déguster dans le charmant Cellier au sous-sol, qui peut accueillir une dizaine de convives.