Romantik Hôtel de l’Ours
Non loin du lac de Morat, cette magnifique bâtisse historique abrite une salle à manger au décor raffiné et un coin bistrot chaleureux et boisé. L’été, l’espace s’agrandit d’une jolie terrasse ombragée et d’un opulent jardin.
Aux fourneaux, l’équipe du nouveau chef Grégoire Santschi propose une carte plutôt traditionnelle, résolument locale et de saison. En mars, le menu «Découverte» à 108 francs prend toutefois quelques libertés géographiques et des accents japonisants. En amuse-bouche, la panna cotta d’asperges et vinaigrette allie agréablement douceur et acidité. Puis les cubes de thon manquent singulièrement de saveur. Ils sont coiffés des notes iodés d’arënkha (perles de hareng) et accompagnés d’un gaspacho vert d’hiver et d’une purée d’amandes, également fades. De son côté, la carotte fane braisée au yuzu kosho et rillettes de truite fumée est idéalement relevée d’un jus corsé. Mais le dressage est réduit à sa plus simple expression. Ensuite, la cuisson du ris de veau au barbecue est parfaitement exécutée. Il est escorté de chips de légumes et de poireau confit, nappé d’un jus forestier à la texture sirupeuse idéale. Hélas, une amertume tenace demeure en fin de bouche. La sélection de fromages provient exclusivement de la région. Ils sont servis avec un chutney aux oignons maison. Simple, le dessert se décline autour d’un rafraîchissant sorbet à la fraise et d’un sablé surmonté de ganache à la rhubarbe.
La longue et impressionnante liste des vins stockés dans une ancienne cave vitrée au sous-sol propose de nombreuses spécialités régionales et internationales.
Non loin du lac de Morat, cette magnifique bâtisse historique abrite une salle à manger au décor raffiné et un coin bistrot chaleureux et boisé. L’été, l’espace s’agrandit d’une jolie terrasse ombragée et d’un opulent jardin.
Aux fourneaux, l’équipe du nouveau chef Grégoire Santschi propose une carte plutôt traditionnelle, résolument locale et de saison. En mars, le menu «Découverte» à 108 francs prend toutefois quelques libertés géographiques et des accents japonisants. En amuse-bouche, la panna cotta d’asperges et vinaigrette allie agréablement douceur et acidité. Puis les cubes de thon manquent singulièrement de saveur. Ils sont coiffés des notes iodés d’arënkha (perles de hareng) et accompagnés d’un gaspacho vert d’hiver et d’une purée d’amandes, également fades. De son côté, la carotte fane braisée au yuzu kosho et rillettes de truite fumée est idéalement relevée d’un jus corsé. Mais le dressage est réduit à sa plus simple expression. Ensuite, la cuisson du ris de veau au barbecue est parfaitement exécutée. Il est escorté de chips de légumes et de poireau confit, nappé d’un jus forestier à la texture sirupeuse idéale. Hélas, une amertume tenace demeure en fin de bouche. La sélection de fromages provient exclusivement de la région. Ils sont servis avec un chutney aux oignons maison. Simple, le dessert se décline autour d’un rafraîchissant sorbet à la fraise et d’un sablé surmonté de ganache à la rhubarbe.
La longue et impressionnante liste des vins stockés dans une ancienne cave vitrée au sous-sol propose de nombreuses spécialités régionales et internationales.