Le Mont-Vully
La magnifique terrasse fleurie offre une vue à couper le souffle sur le lac de Morat et les Préalpes au loin, un cadre verdoyant et bienfaisant. A l’intérieur, dans la salle au plafond boisé, sont dressées des tables espacées et impeccablement nappées de blanc. L’accueil est assuré par Catherine Mao en parfaite maîtresse de maison. Martin Angst Mao, son époux, et le maître d’hôtel se chargent du service avec professionnalisme et efficacité. En cuisine, Jakob Burkhardt et sa brigade réalisent des plats traditionnels. La savoureuse terrine de campagne à la texture agréable et le goûteux chutney aux poires ouvrent les feux. Présenté sur son assiette noire, l’ensemble est coloré et plaisant. Dans un esprit plus canaille, les coquilles Saint-Jacques à la cuisson parfaite trônent fièrement sur un lit de choucroute nappée de sauce au piment d’Espelette. Le filet de bœuf tendre et rosé est accompagné d’une sauce Voronoff qu’on aurait aimée un peu plus tonique. La sole de Bretagne proposée en guise de suggestion du jour coche tous les points d’un plat abouti. La cuisson du poisson est idéale, la chair est fondante, le bord ourlé et croustillant, le tout arrosé d’un beurre aux agrumes au caractère bien affirmé. C’est tout simplement exquis. Pour terminer, la fine crème brûlée et son crumble de pommes au yaourt sont agrémentés de de noisettes au joli croquant. Le brownie au chocolat – plutôt les trois brownies – est accompagné de crème à l’orange sanguine et de meringuettes à la betterave rouge: un joli tableau coloré et délicieux. N’oublions pas de relever la carte des vins et sa pertinente sélection de crus au verre, une belle vitrine des cépages du Vully avec quelques clins d’œil vers des terroirs plus lointains.
La magnifique terrasse fleurie offre une vue à couper le souffle sur le lac de Morat et les Préalpes au loin, un cadre verdoyant et bienfaisant. A l’intérieur, dans la salle au plafond boisé, sont dressées des tables espacées et impeccablement nappées de blanc. L’accueil est assuré par Catherine Mao en parfaite maîtresse de maison. Martin Angst Mao, son époux, et le maître d’hôtel se chargent du service avec professionnalisme et efficacité. En cuisine, Jakob Burkhardt et sa brigade réalisent des plats traditionnels. La savoureuse terrine de campagne à la texture agréable et le goûteux chutney aux poires ouvrent les feux. Présenté sur son assiette noire, l’ensemble est coloré et plaisant. Dans un esprit plus canaille, les coquilles Saint-Jacques à la cuisson parfaite trônent fièrement sur un lit de choucroute nappée de sauce au piment d’Espelette. Le filet de bœuf tendre et rosé est accompagné d’une sauce Voronoff qu’on aurait aimée un peu plus tonique. La sole de Bretagne proposée en guise de suggestion du jour coche tous les points d’un plat abouti. La cuisson du poisson est idéale, la chair est fondante, le bord ourlé et croustillant, le tout arrosé d’un beurre aux agrumes au caractère bien affirmé. C’est tout simplement exquis. Pour terminer, la fine crème brûlée et son crumble de pommes au yaourt sont agrémentés de de noisettes au joli croquant. Le brownie au chocolat – plutôt les trois brownies – est accompagné de crème à l’orange sanguine et de meringuettes à la betterave rouge: un joli tableau coloré et délicieux. N’oublions pas de relever la carte des vins et sa pertinente sélection de crus au verre, une belle vitrine des cépages du Vully avec quelques clins d’œil vers des terroirs plus lointains.