Auberge des Clefs
C’est toujours avec plaisir que nous nous rendons chez la famille Rätz, dans le Vully, et en particulier sur leur superbe terrasse avec vue sur le lac de Morat. En salle, la patronne, Therese, et son équipe s’occupent de leurs hôtes avec attention. En cuisine, Werner ne manque pas de talent. Il propose une carte simple, sans prise de tête, adaptée à l’établissement.
Les entrées étaient impeccables. Un bol de différentes salades, des cerises, des figues, du jambon cru du Seeland coupé en tranches épaisses, des crevettes et un œuf de poule heureuse. Les pennes qui accompagnaient le ragoût de poulet étaient malheureusement beaucoup trop dures, un défaut partiellement compensé par l’excellente sauce à la crème, bien pimentée. Nouvelle déception avec l’entrecôte Café de Paris: la cuisson ne correspondait pas à ce que nous avions demandé. Finalement, le filet de bœuf rôti au four, avec son ragoût de morilles, trop fade, et des asperges de la région, est arrivé presque froid sur la table. Même le délicieux sorbet aux poires Williams, en dessert, n’a pas réussi à nous consoler.
C’est toujours avec plaisir que nous nous rendons chez la famille Rätz, dans le Vully, et en particulier sur leur superbe terrasse avec vue sur le lac de Morat. En salle, la patronne, Therese, et son équipe s’occupent de leurs hôtes avec attention. En cuisine, Werner ne manque pas de talent. Il propose une carte simple, sans prise de tête, adaptée à l’établissement.
Les entrées étaient impeccables. Un bol de différentes salades, des cerises, des figues, du jambon cru du Seeland coupé en tranches épaisses, des crevettes et un œuf de poule heureuse. Les pennes qui accompagnaient le ragoût de poulet étaient malheureusement beaucoup trop dures, un défaut partiellement compensé par l’excellente sauce à la crème, bien pimentée. Nouvelle déception avec l’entrecôte Café de Paris: la cuisson ne correspondait pas à ce que nous avions demandé. Finalement, le filet de bœuf rôti au four, avec son ragoût de morilles, trop fade, et des asperges de la région, est arrivé presque froid sur la table. Même le délicieux sorbet aux poires Williams, en dessert, n’a pas réussi à nous consoler.