Käserei
Le passage de Florian Gautschi à la Käserei n’aura duré qu’un an. C’est désormais Eric Glauser, auparavant chez Globus, à Zurich, qui se retrouve aux fourneaux de ce restaurant de la vieille ville de Morat. Un changement qui apporte un nouvel élan. La constance, elle, est assurée par le sommelier Oliver Lohse, qui dirige également le service, impeccable.
La soupe de tomates blanches à la mousse de basilic et au ris de veau développe une alternance subtile entre douceur et acidité. Les pâtes étaient également remarquables, des rigatonis au basilic faits maison, parfaitement al dente, rehaussés de tomates et de mascarpone. Ici, le poisson est durable et local. A l’image de ce sandre des Alpes valaisannes, rôti, servi sur un écrasé de pommes de terre et des poireaux truffés. Ou de ces corégones du lac de Morat, refroidis une nuit sur de la glace et soigneusement désarêtés, accompagnés d’un risotto crémeux au safran et d’épinards.
On termine avec d’excellents desserts, dont une intéressante variation d’abricots valaisans, servis pochés, en glace et en espuma à la menthe, accompagnés d’un crumble aux amandes légèrement salé.


Le passage de Florian Gautschi à la Käserei n’aura duré qu’un an. C’est désormais Eric Glauser, auparavant chez Globus, à Zurich, qui se retrouve aux fourneaux de ce restaurant de la vieille ville de Morat. Un changement qui apporte un nouvel élan. La constance, elle, est assurée par le sommelier Oliver Lohse, qui dirige également le service, impeccable.
La soupe de tomates blanches à la mousse de basilic et au ris de veau développe une alternance subtile entre douceur et acidité. Les pâtes étaient également remarquables, des rigatonis au basilic faits maison, parfaitement al dente, rehaussés de tomates et de mascarpone. Ici, le poisson est durable et local. A l’image de ce sandre des Alpes valaisannes, rôti, servi sur un écrasé de pommes de terre et des poireaux truffés. Ou de ces corégones du lac de Morat, refroidis une nuit sur de la glace et soigneusement désarêtés, accompagnés d’un risotto crémeux au safran et d’épinards.
On termine avec d’excellents desserts, dont une intéressante variation d’abricots valaisans, servis pochés, en glace et en espuma à la menthe, accompagnés d’un crumble aux amandes légèrement salé.