
Restaurant De la Gare Chez Sandro
Le sens de l’accueil fait partie de l’ADN de la famille Bertozzini: mère et fils passent à chaque table pour saluer les habitués – ou les nouveaux venus – en échangeant quelques mots chaleureux. Le restaurant se divise entre une brasserie conviviale et une salle à manger plus feutrée et élégante. Les deux espaces partagent une carte intemporelle, riche en pâtes fraîches, ainsi qu’un menu du moment, plus en phase avec les saisons.
Nous débutons avec quelques petits dés de saumon des Alpes infusés aux épices, accompagnés d’avocat et d’une sauce asiatique, pour un ensemble bien sapide et réjouissant. Ensuite viennent les papillotes de langoustines au basilic, plus séduisantes à l’œil qu’au palais, souffrant d’une cuisson trop poussée et d’un accompagnement incertain, réduit à une simple compote de pommes au gingembre. La royale d’asperges de l’assiette suivante suit la même tendance: superbe d’apparence, mais oscillant entre amertume et fadeur. En plat principal, de mignonnes côtes d’agneau, un peu coriaces malgré une cuisson exacte, sont accompagnées d’un cromesquis fondant et parfumé aux olives, ainsi que d’une jardinière de légumes. Petite déception au dessert avec un tiramisu manquant de gourmandise. Soulignons pour finir la belle carte des vins, qui renferme de véritables trésors transalpins.


Le sens de l’accueil fait partie de l’ADN de la famille Bertozzini: mère et fils passent à chaque table pour saluer les habitués – ou les nouveaux venus – en échangeant quelques mots chaleureux. Le restaurant se divise entre une brasserie conviviale et une salle à manger plus feutrée et élégante. Les deux espaces partagent une carte intemporelle, riche en pâtes fraîches, ainsi qu’un menu du moment, plus en phase avec les saisons.
Nous débutons avec quelques petits dés de saumon des Alpes infusés aux épices, accompagnés d’avocat et d’une sauce asiatique, pour un ensemble bien sapide et réjouissant. Ensuite viennent les papillotes de langoustines au basilic, plus séduisantes à l’œil qu’au palais, souffrant d’une cuisson trop poussée et d’un accompagnement incertain, réduit à une simple compote de pommes au gingembre. La royale d’asperges de l’assiette suivante suit la même tendance: superbe d’apparence, mais oscillant entre amertume et fadeur. En plat principal, de mignonnes côtes d’agneau, un peu coriaces malgré une cuisson exacte, sont accompagnées d’un cromesquis fondant et parfumé aux olives, ainsi que d’une jardinière de légumes. Petite déception au dessert avec un tiramisu manquant de gourmandise. Soulignons pour finir la belle carte des vins, qui renferme de véritables trésors transalpins.


