
Auberge du Prévoux
Pour un plat du jour côté bistrot ou au coin du feu côté gourmet, l’accueil dans cette auberge entre Le Locle et La Brévine est toujours chaleureux. Le chef Frédéric Marchand y propose une cuisine classique, réalisée avec une technique exemplaire en respectant le rythme des saisons. Au restaurant, il propose un menu unique en cinq ou six services.
Le voile se lève avec un pressé de poireaux et son émulsion de pommes de terre, parfaitement dressés mais un peu retenus en saveurs. Quelques éclats de truffe noire du Périgord et une espiègle salade de pissenlit, légèrement acidulée, ravivent ce premier tableau. Puis, ode gourmande au printemps, les ravioles de volaille fermière en fine émulsion aux arômes boisés, typiques des hygrophores de mars, sont relevées d’un brin d’ail des ours et de quelques fèves d’un vert vif. Une réussite.
Un filet de perche du lac de Neuchâtel se pare ensuite de craquants éclats de fruits à coque. Il arrive bien accompagné d’un onctueux jus d’ortie et d’un vert qui est indéniablement la couleur à l’honneur ce soir-là. Et voici la chips de chou frisé, avec la déclinaison de bœuf. Les textures et arômes sont variés et les cuissons parfaitement maîtrisées. Ainsi le faux-filet est fondant et la rustique effilochée de queue de bœuf, une pure merveille. La barrette de pommes Macaire parfumées à l’estragon complète cette symphonie.
Le crumble chocolat-noisette, sa crème au pralin et sa glace praliné crémeuse concluent idéalement ce délicieux repas.


Pour un plat du jour côté bistrot ou au coin du feu côté gourmet, l’accueil dans cette auberge entre Le Locle et La Brévine est toujours chaleureux. Le chef Frédéric Marchand y propose une cuisine classique, réalisée avec une technique exemplaire en respectant le rythme des saisons. Au restaurant, il propose un menu unique en cinq ou six services.
Le voile se lève avec un pressé de poireaux et son émulsion de pommes de terre, parfaitement dressés mais un peu retenus en saveurs. Quelques éclats de truffe noire du Périgord et une espiègle salade de pissenlit, légèrement acidulée, ravivent ce premier tableau. Puis, ode gourmande au printemps, les ravioles de volaille fermière en fine émulsion aux arômes boisés, typiques des hygrophores de mars, sont relevées d’un brin d’ail des ours et de quelques fèves d’un vert vif. Une réussite.
Un filet de perche du lac de Neuchâtel se pare ensuite de craquants éclats de fruits à coque. Il arrive bien accompagné d’un onctueux jus d’ortie et d’un vert qui est indéniablement la couleur à l’honneur ce soir-là. Et voici la chips de chou frisé, avec la déclinaison de bœuf. Les textures et arômes sont variés et les cuissons parfaitement maîtrisées. Ainsi le faux-filet est fondant et la rustique effilochée de queue de bœuf, une pure merveille. La barrette de pommes Macaire parfumées à l’estragon complète cette symphonie.
Le crumble chocolat-noisette, sa crème au pralin et sa glace praliné crémeuse concluent idéalement ce délicieux repas.


