La Croisette
Au cœur de la cité horlogère du Locle se niche un écrin gastronomique, promesse d’émotions gustatives inédites. Dès l’entrée, l’accueil puis le service sont bienveillants et attentifs, à l’instar du passage du chef à table. A côté du restaurant traditionnel, à la carte très attrayante, se trouve le lounge gastronomique: ambiance feutrée, fauteuils à oreilles confortables, musique au niveau sonore juste. Là, le temps semble suspendu pour laisser place à une symphonie gourmande de haut vol, sans fausse note, généreuse et surprenante. Parallèlement aux deux menus et à la carte, à midi, les clients peuvent également opter pour l’un des trois business lunches à trois, quatre ou cinq plats, aux prix très doux. Après quelques amuse-bouches qui laissent augurer un avenir radieux pour le palais, le papet revisité est mâtiné d’accent neuchâtelois pour ouvrir les festivités. Place ensuite à la farandole des entrées en une succession de tableaux où, après l’émerveillement des pupilles, vient un exceptionnel régal des papilles. Le menu «Lounge» complet débute par un carpaccio de Saint-Jacques aux agrumes, élégamment escorté d’une touche de caviar osciètre et coiffé d’une feuille d’or pour un mariage délicat de saveurs. Le saumon Swiss Lachs, légèrement cuit, est servi tiède, avec une aérienne sauce aux fines herbes, fricassée de morilles et pomme mignonette. Du côté du business lunch, la burrata et ses tomates cerises sont nappées d’un sirop tomate et mangue onctueux. Suit un sublime foie gras de canard mi-cuit, d’une qualité rare, chutney exotique et pain brioché toasté. Puis le thon juste cuit au sésame, avocat, bouillon au Kikkoman et petits légumes est extraordinairement fondant. Les deux menus se rejoignent ensuite avec un divin pluma de pata negra en habit noir, sauce chimichurri, petits légumes et mousseline de pommes de terre, moelleux et succulent. L’assiette de fromages est à l’avenant, les pâtes viennent de chez Sterchi. Quant aux desserts… ce sont des chefs-d’œuvre d’accords et d’exécution qui laissent – un instant – bouche bée, entre carpaccio d’ananas et pot de fleur en chocolat. Un point supplémentaire est amplement mérité!
Au cœur de la cité horlogère du Locle se niche un écrin gastronomique, promesse d’émotions gustatives inédites. Dès l’entrée, l’accueil puis le service sont bienveillants et attentifs, à l’instar du passage du chef à table. A côté du restaurant traditionnel, à la carte très attrayante, se trouve le lounge gastronomique: ambiance feutrée, fauteuils à oreilles confortables, musique au niveau sonore juste. Là, le temps semble suspendu pour laisser place à une symphonie gourmande de haut vol, sans fausse note, généreuse et surprenante. Parallèlement aux deux menus et à la carte, à midi, les clients peuvent également opter pour l’un des trois business lunches à trois, quatre ou cinq plats, aux prix très doux. Après quelques amuse-bouches qui laissent augurer un avenir radieux pour le palais, le papet revisité est mâtiné d’accent neuchâtelois pour ouvrir les festivités. Place ensuite à la farandole des entrées en une succession de tableaux où, après l’émerveillement des pupilles, vient un exceptionnel régal des papilles. Le menu «Lounge» complet débute par un carpaccio de Saint-Jacques aux agrumes, élégamment escorté d’une touche de caviar osciètre et coiffé d’une feuille d’or pour un mariage délicat de saveurs. Le saumon Swiss Lachs, légèrement cuit, est servi tiède, avec une aérienne sauce aux fines herbes, fricassée de morilles et pomme mignonette. Du côté du business lunch, la burrata et ses tomates cerises sont nappées d’un sirop tomate et mangue onctueux. Suit un sublime foie gras de canard mi-cuit, d’une qualité rare, chutney exotique et pain brioché toasté. Puis le thon juste cuit au sésame, avocat, bouillon au Kikkoman et petits légumes est extraordinairement fondant. Les deux menus se rejoignent ensuite avec un divin pluma de pata negra en habit noir, sauce chimichurri, petits légumes et mousseline de pommes de terre, moelleux et succulent. L’assiette de fromages est à l’avenant, les pâtes viennent de chez Sterchi. Quant aux desserts… ce sont des chefs-d’œuvre d’accords et d’exécution qui laissent – un instant – bouche bée, entre carpaccio d’ananas et pot de fleur en chocolat. Un point supplémentaire est amplement mérité!