Mandarin Oriental Geneva
La star mondiale de la cuisine simple, goûteuse et irrésistible est arrivée à Genève. Le célébrissime Yotam Ottolenghi, dont les livres de recettes s’arrachent sur toute la planète, dispose ici d’une première succursale hors du Royaume-Uni, avec un ambassadeur, le chef Maxime Martin. C’est au Mandarin Oriental Geneva que ça se passe, le cinq-étoiles qui a fait des pop-up de cuisiniers internationaux sa signature. Le chef anglo-israélien succède à l’Indien Vineet Bhatia et au Péruvien Gastón Acurio. Ses plats séducteurs sont ici proposés à des tarifs qui le sont moins. A ce titre, la (belle) carte des vins laisse sans voix, car nous ne sommes pas dans un restaurant de grand luxe, mais bien dans une agréable brasserie chic et informelle, où même l’huile d’olive est servie en portions trop chiches. Ainsi le trait de délicieux houmous, proposé «à partager», n’assure que quelques exquises bouchées, avec du pain facturé à part (6 francs). Cela dit, le duo de gambero rosso au gril est une ode au bord de mer, les artichauts au tarator aux noix sont un pur délice et le poireau rôti en crème de yuzu est une délectation. Puis, on se régale de kofta de poisson (irrésistible), d’une épaule d’agneau à la cardamome d’anthologie et d’un coquelet juteux et croustillant. Les accompagnements sont facturés à part: les pommes de terre au citron confit et à la livèche sont un délice à l’accent oriental. Service très aimable et attentionné.


La star mondiale de la cuisine simple, goûteuse et irrésistible est arrivée à Genève. Le célébrissime Yotam Ottolenghi, dont les livres de recettes s’arrachent sur toute la planète, dispose ici d’une première succursale hors du Royaume-Uni, avec un ambassadeur, le chef Maxime Martin. C’est au Mandarin Oriental Geneva que ça se passe, le cinq-étoiles qui a fait des pop-up de cuisiniers internationaux sa signature. Le chef anglo-israélien succède à l’Indien Vineet Bhatia et au Péruvien Gastón Acurio. Ses plats séducteurs sont ici proposés à des tarifs qui le sont moins. A ce titre, la (belle) carte des vins laisse sans voix, car nous ne sommes pas dans un restaurant de grand luxe, mais bien dans une agréable brasserie chic et informelle, où même l’huile d’olive est servie en portions trop chiches. Ainsi le trait de délicieux houmous, proposé «à partager», n’assure que quelques exquises bouchées, avec du pain facturé à part (6 francs). Cela dit, le duo de gambero rosso au gril est une ode au bord de mer, les artichauts au tarator aux noix sont un pur délice et le poireau rôti en crème de yuzu est une délectation. Puis, on se régale de kofta de poisson (irrésistible), d’une épaule d’agneau à la cardamome d’anthologie et d’un coquelet juteux et croustillant. Les accompagnements sont facturés à part: les pommes de terre au citron confit et à la livèche sont un délice à l’accent oriental. Service très aimable et attentionné.