Maison Hornberg
Dans le chalethotel de Brigitte et Christian Hoefliger-von Siebenthal, on compte 130 places dans le restaurant et 100 places supplémentaires sur la terrasse ensoleillée. C’est que, ici, il faut satisfaire la clientèle de passage, qui commande à la carte, mais aussi les clients de l’hôtel, en demi-pension. C’est un défi difficile à relever, même pour un chef de cuisine aussi expérimenté que Michael Rindlisbacher, et nous l’avons malheureusement ressenti lors de notre visite.
Le filet de poulet cuit à la vapeur plutôt qu’au four, accompagné d’une salade de pousses asiatiques, était fade et la sauce chili aux cacahuètes peu goûteuse. Nous avons préféré les SwissShrimps rôties sur un chou rouge mariné et croquant, même si la salade de pamplemousse qui l’accompagnait était un peu trop amère. Par contre, nous n’avons rien trouvé à redire au saumon de Lostallo accompagné de fenouil cuit au four et d’une originale mousseline de haricots blancs. Par contre, le deuxième plat principal fut une véritable déception. En effet, le filet de bœuf, trop cuit, reposait sur un risotto au safran beaucoup trop sec. L’opulente mousse au chocolat et une belle tarte aux fruits de la passion ont agréablement conclu le repas, sur une meilleure note.
Dans le chalethotel de Brigitte et Christian Hoefliger-von Siebenthal, on compte 130 places dans le restaurant et 100 places supplémentaires sur la terrasse ensoleillée. C’est que, ici, il faut satisfaire la clientèle de passage, qui commande à la carte, mais aussi les clients de l’hôtel, en demi-pension. C’est un défi difficile à relever, même pour un chef de cuisine aussi expérimenté que Michael Rindlisbacher, et nous l’avons malheureusement ressenti lors de notre visite.
Le filet de poulet cuit à la vapeur plutôt qu’au four, accompagné d’une salade de pousses asiatiques, était fade et la sauce chili aux cacahuètes peu goûteuse. Nous avons préféré les SwissShrimps rôties sur un chou rouge mariné et croquant, même si la salade de pamplemousse qui l’accompagnait était un peu trop amère. Par contre, nous n’avons rien trouvé à redire au saumon de Lostallo accompagné de fenouil cuit au four et d’une originale mousseline de haricots blancs. Par contre, le deuxième plat principal fut une véritable déception. En effet, le filet de bœuf, trop cuit, reposait sur un risotto au safran beaucoup trop sec. L’opulente mousse au chocolat et une belle tarte aux fruits de la passion ont agréablement conclu le repas, sur une meilleure note.