Maison d'Igor
Dans cette maison historique rénovée avec fraîcheur et couleurs, l’ambiance est au beau fixe, particulièrement quand le soleil permet l’ouverture de la terrasse sur le joli jardin. Dans cette ambiance chaleureuse qu’accompagne une service agréable, Nathan Behrens propose ses assiettes qui lui répondent. Une cuisine gourmande, avec de jolies trouvailles, une belle technique et peu de falbala. On est réconforté.
Comme cet amuse-bouche qui associe dés de patate douce confite, avocat, fruit de la passion pour bien ouvrir l’appétit. La salade gourmande mêlait ce jour-là salade, asperges vertes, pois et labneh oriental. Le tartare de féra du lac voisin se posait dans une nage de rhubarbe acidulée avec une crème de petits pois, des rondelles de radis et des mini-salicornes. C’est frais, intelligent et joli. La soupe froide d’avocat est bien soyeuse, rehaussée d’une huile à l’ail et aux épices bien équilibrée et de crème acidulée.
Le filet de sandre est impeccablement cuit, avec sa sauce à l’ail des ours où l’herbe sauvage parfume sans dominer, le tout agrémenté d’un riz venere, d’asperges vertes et de romanesco. Le carré d’agneau – rosé comme il faut – se pare d’une croûte d’herbes, à côté d’un disque de pommes de terre écrasées et de nombreux légumes préparés avec soin.
Les desserts sont dans cette même veine joliment inventive et agréablement gourmande, comme ce savarin au rhum vanillé sur une compotée de mangues, des chips d’ananas et un sorbet au fruit de la passion. La carte des vins puise dans la région sans oublier d’aller chercher plus loin.


Dans cette maison historique rénovée avec fraîcheur et couleurs, l’ambiance est au beau fixe, particulièrement quand le soleil permet l’ouverture de la terrasse sur le joli jardin. Dans cette ambiance chaleureuse qu’accompagne une service agréable, Nathan Behrens propose ses assiettes qui lui répondent. Une cuisine gourmande, avec de jolies trouvailles, une belle technique et peu de falbala. On est réconforté.
Comme cet amuse-bouche qui associe dés de patate douce confite, avocat, fruit de la passion pour bien ouvrir l’appétit. La salade gourmande mêlait ce jour-là salade, asperges vertes, pois et labneh oriental. Le tartare de féra du lac voisin se posait dans une nage de rhubarbe acidulée avec une crème de petits pois, des rondelles de radis et des mini-salicornes. C’est frais, intelligent et joli. La soupe froide d’avocat est bien soyeuse, rehaussée d’une huile à l’ail et aux épices bien équilibrée et de crème acidulée.
Le filet de sandre est impeccablement cuit, avec sa sauce à l’ail des ours où l’herbe sauvage parfume sans dominer, le tout agrémenté d’un riz venere, d’asperges vertes et de romanesco. Le carré d’agneau – rosé comme il faut – se pare d’une croûte d’herbes, à côté d’un disque de pommes de terre écrasées et de nombreux légumes préparés avec soin.
Les desserts sont dans cette même veine joliment inventive et agréablement gourmande, comme ce savarin au rhum vanillé sur une compotée de mangues, des chips d’ananas et un sorbet au fruit de la passion. La carte des vins puise dans la région sans oublier d’aller chercher plus loin.