Les Ateliers
A deux pas de la gare, en bordure de la Veveyse, se dresse un bâtiment atypique qui abritait autrefois les ateliers mécaniques de la ville. Si l’enveloppe a été préservée, l’intérieur a été repensé. Il y a ici quelques lofts, une vaste halle pouvant accueillir une centaine de convives et, bien sûr, le restaurant du couple Ribette-Verdan.
La cuisine, elle, est empreinte d’une belle modernité. Comme ce mariage de chou-fleur et de chocolat blanc travaillé en mousseline et accompagné d’un sorbet au fromage blanc débouchant sur une mise en bouche tout en fraîcheur et en légèreté. Un autre sorbet – à la carotte rouge celui-ci – apporte peps et sucre à une terrine de foie gras saupoudrée d’éclats de pistaches. Côté mer, le filet de saint-pierre se pare d’écailles d’asperges pour un joli résultat visuel et gustatif. Caviar d’aubergines et émulsion au citron dans laquelle on trempe volontiers son pain jouent les accompagnements. Arrive alors le cœur de filet de bœuf de nos Monts (label régional) cuit à basse température dont le goût n’a d’égal que la tendreté. Il s’apprécie avec quelques légumes printaniers fondants et une purée de pommes de terre rattes digne de celle de Joël Robuchon.
Ici, le chariot de fromages suisses fait partie des incontournables. Il recèle des délices. Avant que cannelés, nougat et pâtes de fruits ne viennent clore le repas, place à un dessert cubique associant harmonieusement chocolat et noisettes. Composition aérée par un surprenant sorbet au jus de fèves de cacao fermenté dont le chef a le secret. Quant à l’excellent Pietro, ancien disciple de Nadine et Christophe Rod à La Conversion, puis à Leysin, il saura vous guider dans la vaste carte des vins aux tarifs amicaux.
A deux pas de la gare, en bordure de la Veveyse, se dresse un bâtiment atypique qui abritait autrefois les ateliers mécaniques de la ville. Si l’enveloppe a été préservée, l’intérieur a été repensé. Il y a ici quelques lofts, une vaste halle pouvant accueillir une centaine de convives et, bien sûr, le restaurant du couple Ribette-Verdan.
La cuisine, elle, est empreinte d’une belle modernité. Comme ce mariage de chou-fleur et de chocolat blanc travaillé en mousseline et accompagné d’un sorbet au fromage blanc débouchant sur une mise en bouche tout en fraîcheur et en légèreté. Un autre sorbet – à la carotte rouge celui-ci – apporte peps et sucre à une terrine de foie gras saupoudrée d’éclats de pistaches. Côté mer, le filet de saint-pierre se pare d’écailles d’asperges pour un joli résultat visuel et gustatif. Caviar d’aubergines et émulsion au citron dans laquelle on trempe volontiers son pain jouent les accompagnements. Arrive alors le cœur de filet de bœuf de nos Monts (label régional) cuit à basse température dont le goût n’a d’égal que la tendreté. Il s’apprécie avec quelques légumes printaniers fondants et une purée de pommes de terre rattes digne de celle de Joël Robuchon.
Ici, le chariot de fromages suisses fait partie des incontournables. Il recèle des délices. Avant que cannelés, nougat et pâtes de fruits ne viennent clore le repas, place à un dessert cubique associant harmonieusement chocolat et noisettes. Composition aérée par un surprenant sorbet au jus de fèves de cacao fermenté dont le chef a le secret. Quant à l’excellent Pietro, ancien disciple de Nadine et Christophe Rod à La Conversion, puis à Leysin, il saura vous guider dans la vaste carte des vins aux tarifs amicaux.