Le Grillon
C’est au pied des pistes de ski surplombant le lac de Bienne que se trouve le repaire de ce Grillon-là. Le chef Daniel Jeandrevin y donne libre cours à son imagination et propose une cuisine authentique, créative et colorée qui varie au fil des saisons. Le cadre sobre de la salle est réchauffé par un accueil particulièrement attentionné.
Ici, il faut se laisser porter par les menus «Petit gourmand» et «Grand gourmand», où le chef nous surprend tout au long du repas.
En ce début de printemps, le ton est donné par un vif et soyeux velouté aux herbes qui associe savamment ail des ours, menthe et persil plat, coiffé d’une légère mousse de lait.
Suit une salade tiède où d’abondants bolets et chanterelles tiennent compagnie à de tendres asperges. D’espiègles pousses et fleurs soigneusement choisies dynamisent le tout. Le copieux foie gras poêlé qui poursuit le repas des grands gourmands se déguste simplement saupoudré de gros sel.
Dans un même souci de simplicité, le fondant filet de cabillaud poêlé est posé sur une sauce à la moutarde, un brin trop amère.
Les surprises du chef continuent avec un pavé de bœuf à la cuisson idéale surmonté de généreuses morilles et d’une sauce au vin à tomber. Les quelques carottes, asperges et betteraves blanches qui l’escortent sont à peine tièdes. Heureusement, les galettes de pommes de terre maison arrivent, elles, parfaitement croustillantes et fondantes à cœur. On en redemande!
Le trio de desserts est simple mais agréable. Une douce panna cotta baigne dans une ravigotante soupe de fraises et rafraîchit un pavé au chocolat un peu surcuit. Le «Délice-amandes» porte quant à lui bien son nom.
La carte des vins est vaste et fait la part belle aux coteaux voisins et l’on peut même ne prélever que quelques verres d’une bouteille.


C’est au pied des pistes de ski surplombant le lac de Bienne que se trouve le repaire de ce Grillon-là. Le chef Daniel Jeandrevin y donne libre cours à son imagination et propose une cuisine authentique, créative et colorée qui varie au fil des saisons. Le cadre sobre de la salle est réchauffé par un accueil particulièrement attentionné.
Ici, il faut se laisser porter par les menus «Petit gourmand» et «Grand gourmand», où le chef nous surprend tout au long du repas.
En ce début de printemps, le ton est donné par un vif et soyeux velouté aux herbes qui associe savamment ail des ours, menthe et persil plat, coiffé d’une légère mousse de lait.
Suit une salade tiède où d’abondants bolets et chanterelles tiennent compagnie à de tendres asperges. D’espiègles pousses et fleurs soigneusement choisies dynamisent le tout. Le copieux foie gras poêlé qui poursuit le repas des grands gourmands se déguste simplement saupoudré de gros sel.
Dans un même souci de simplicité, le fondant filet de cabillaud poêlé est posé sur une sauce à la moutarde, un brin trop amère.
Les surprises du chef continuent avec un pavé de bœuf à la cuisson idéale surmonté de généreuses morilles et d’une sauce au vin à tomber. Les quelques carottes, asperges et betteraves blanches qui l’escortent sont à peine tièdes. Heureusement, les galettes de pommes de terre maison arrivent, elles, parfaitement croustillantes et fondantes à cœur. On en redemande!
Le trio de desserts est simple mais agréable. Une douce panna cotta baigne dans une ravigotante soupe de fraises et rafraîchit un pavé au chocolat un peu surcuit. Le «Délice-amandes» porte quant à lui bien son nom.
La carte des vins est vaste et fait la part belle aux coteaux voisins et l’on peut même ne prélever que quelques verres d’une bouteille.