
Le Grillon
Lové au cœur du magnifique parc du Chasseral, le restaurant de Daniel Jeandrevin offre depuis plus de quarante ans une halte gourmande aux gastronomes comme aux randonneurs. Le décor du restaurant est minimaliste, l’essentiel est ailleurs: un service attentionné, un accueil chaleureux et des portions généreuses. A la carte, veau, bœuf et porc sont du pays alors que les volailles et le lapin proviennent de France voisine. Trois menus sont également disponibles, offrant un choix de quatre à six plats, à discuter avec le chef en fonction des disponibilités.
Pour débuter, le velouté aux herbes est sans grand relief. Il est suivi par des morilles farcies aux champignons qui manquent malheureusement de parfum, bien qu’elles soient escortées par une légère émulsion aromatique. Puis le filet de bar est parfait, blanc et nacré, saisi à la perfection et accompagné de délicates asperges blanches et d’une sauce mousseline. Quant à la pièce maîtresse, la côte de veau, elle est idéalement rosée, nappée d’un jus relevé par un subtil arôme de badiane. Sept légumes lui tiennent compagnie ainsi qu’une craquante galette de pommes de terre. Le dessert associe un feuilleté aux fraises à un délice au chocolat ainsi qu’une savoureuse glace à la noisette. L’ensemble est parfaitement maîtrisé. Il ne manque qu’une touche de créativité et d’originalité dans le dressage. Un peu de lassitude en cuisine? Joli choix de vins servis également au verre.


Lové au cœur du magnifique parc du Chasseral, le restaurant de Daniel Jeandrevin offre depuis plus de quarante ans une halte gourmande aux gastronomes comme aux randonneurs. Le décor du restaurant est minimaliste, l’essentiel est ailleurs: un service attentionné, un accueil chaleureux et des portions généreuses. A la carte, veau, bœuf et porc sont du pays alors que les volailles et le lapin proviennent de France voisine. Trois menus sont également disponibles, offrant un choix de quatre à six plats, à discuter avec le chef en fonction des disponibilités.
Pour débuter, le velouté aux herbes est sans grand relief. Il est suivi par des morilles farcies aux champignons qui manquent malheureusement de parfum, bien qu’elles soient escortées par une légère émulsion aromatique. Puis le filet de bar est parfait, blanc et nacré, saisi à la perfection et accompagné de délicates asperges blanches et d’une sauce mousseline. Quant à la pièce maîtresse, la côte de veau, elle est idéalement rosée, nappée d’un jus relevé par un subtil arôme de badiane. Sept légumes lui tiennent compagnie ainsi qu’une craquante galette de pommes de terre. Le dessert associe un feuilleté aux fraises à un délice au chocolat ainsi qu’une savoureuse glace à la noisette. L’ensemble est parfaitement maîtrisé. Il ne manque qu’une touche de créativité et d’originalité dans le dressage. Un peu de lassitude en cuisine? Joli choix de vins servis également au verre.


