Hôtel du Cerf
Un repas gastronomique chez Jean-Marc Soldati est un plaisir gustatif sans cesse renouvelé! Tout y est chaleureux et sympathique: de l’accueil du chef au service efficace et bienveillant. Quant à la gourmandise, elle occupe une place de choix au centre du restaurant aux décors boisés. Parallèlement à la carte de la brasserie, l’établissement propose des menus gastronomiques selon l’inspiration du chef, qui s’enquiert lors de la réservation des goûts et des intolérances de chaque convive.
Le menu se déroule avec une épatante précision au cœur du pays horloger. Le rythme, les portions, le dressage, les accords mets-vin, les associations, les cuissons, tout est exact et rigoureux. Au printemps, un tartare de truite sauvage neuchâteloise à la crème acidulée est une subtile entrée en matière, tout en délicatesse, à l’instar de la terrine de foie gras à la gelée de figue et vieux madère, un chouïa trop froide mais vite réchauffée par la tiédeur de la moelleuse brioche maison. La printanière de homard à l’émulsion de livèche et aux petits triangles de légumes multicolores est impeccable. La ballottine de pintade aux – généreuses – morilles et aux épinards est délicieusement tendre et goûteuse. Il est quasiment impossible de résister ensuite au somptueux chariot de fromages parfaitement affinés. Pour terminer la fête des papilles, les deux desserts sont des feux d’artifice de saveur. La brunoise de fruits exotiques à la glace coco est chapeautée d’une écume au citron vert. C’est vif et frais. Quant à l’irish coffee décomposé en mousse, glace, perles de whisky et autres purs délices, c’est une merveille de créativité. Joli choix de vins et suggestions au verre.


Un repas gastronomique chez Jean-Marc Soldati est un plaisir gustatif sans cesse renouvelé! Tout y est chaleureux et sympathique: de l’accueil du chef au service efficace et bienveillant. Quant à la gourmandise, elle occupe une place de choix au centre du restaurant aux décors boisés. Parallèlement à la carte de la brasserie, l’établissement propose des menus gastronomiques selon l’inspiration du chef, qui s’enquiert lors de la réservation des goûts et des intolérances de chaque convive.
Le menu se déroule avec une épatante précision au cœur du pays horloger. Le rythme, les portions, le dressage, les accords mets-vin, les associations, les cuissons, tout est exact et rigoureux. Au printemps, un tartare de truite sauvage neuchâteloise à la crème acidulée est une subtile entrée en matière, tout en délicatesse, à l’instar de la terrine de foie gras à la gelée de figue et vieux madère, un chouïa trop froide mais vite réchauffée par la tiédeur de la moelleuse brioche maison. La printanière de homard à l’émulsion de livèche et aux petits triangles de légumes multicolores est impeccable. La ballottine de pintade aux – généreuses – morilles et aux épinards est délicieusement tendre et goûteuse. Il est quasiment impossible de résister ensuite au somptueux chariot de fromages parfaitement affinés. Pour terminer la fête des papilles, les deux desserts sont des feux d’artifice de saveur. La brunoise de fruits exotiques à la glace coco est chapeautée d’une écume au citron vert. C’est vif et frais. Quant à l’irish coffee décomposé en mousse, glace, perles de whisky et autres purs délices, c’est une merveille de créativité. Joli choix de vins et suggestions au verre.