L'Auberge d'Hermance
Niché tout au bout du canton, entre la frontière française et le lac, Hermance est un charmant petit village hors du temps. A l’Auberge d’Hermance, vous serez accueilli avec autant de professionnalisme que d’amabilité. Une clientèle d’habitués et d’internationaux de passage au portefeuille à même de résister aux prix assez robustes se retrouvent sur la terrasse romantique. Asseyez-vous et détendez-vous, vous êtes dans un écrin fleuri à la Monet, au désordre savamment orchestré. La carte et le lieu sont d’un classicisme revendiqué. Ainsi, ce loup de ligne en croûte de sel préparé minute est un spectacle comme on n’en voit plus beaucoup: en deux temps, trois mouvements, le voici entièrement déshabillé avec un art consommé. Le carré d’agneau en croûte d’herbes à la cuisson impeccable est vraiment délicieux, avec juste ce qu’il faut de gras pour qu’il soit fondant en bouche. Il est souligné par un jus à la sauge pétillant de goût et de sympathiques pois chiches et tomates confites. La carte renferme également quelques pépites tout à fait modernes, comme ce carpaccio de dorade sauvage aux délicieux accents exotiques (citron vert, cébette et mangue), tranché aussi fin qu’un soupir. C’est délicat, c’est fin, c’est élégant. Autre agréable surprise, le ceviche de féra, sureau et champignons japonais à l’acidité parfaitement maîtrisée et très joliment présenté sous la forme d’une belle couronne printanière.
Côté poisson toujours, on annonce aimablement que les filets de perche ne sont pas du lac, alors on peut opter pour le bel omble escorté de légumes de saison. Le poisson est apprêté sans artifices inutiles, les goûts sont francs. La tarte du jour à l’orange est toute mignonne avec sa couronne meringuée juste dorée. D’agréables glaces et sorbets maison, préparés au gré de l’humeur du chef, viennent clore ce repas au goût de reviens-y. A midi, n’hésitez pas à venir en bateau: la promenade sur un vapeur Belle Epoque est un enchantement.


Niché tout au bout du canton, entre la frontière française et le lac, Hermance est un charmant petit village hors du temps. A l’Auberge d’Hermance, vous serez accueilli avec autant de professionnalisme que d’amabilité. Une clientèle d’habitués et d’internationaux de passage au portefeuille à même de résister aux prix assez robustes se retrouvent sur la terrasse romantique. Asseyez-vous et détendez-vous, vous êtes dans un écrin fleuri à la Monet, au désordre savamment orchestré. La carte et le lieu sont d’un classicisme revendiqué. Ainsi, ce loup de ligne en croûte de sel préparé minute est un spectacle comme on n’en voit plus beaucoup: en deux temps, trois mouvements, le voici entièrement déshabillé avec un art consommé. Le carré d’agneau en croûte d’herbes à la cuisson impeccable est vraiment délicieux, avec juste ce qu’il faut de gras pour qu’il soit fondant en bouche. Il est souligné par un jus à la sauge pétillant de goût et de sympathiques pois chiches et tomates confites. La carte renferme également quelques pépites tout à fait modernes, comme ce carpaccio de dorade sauvage aux délicieux accents exotiques (citron vert, cébette et mangue), tranché aussi fin qu’un soupir. C’est délicat, c’est fin, c’est élégant. Autre agréable surprise, le ceviche de féra, sureau et champignons japonais à l’acidité parfaitement maîtrisée et très joliment présenté sous la forme d’une belle couronne printanière.
Côté poisson toujours, on annonce aimablement que les filets de perche ne sont pas du lac, alors on peut opter pour le bel omble escorté de légumes de saison. Le poisson est apprêté sans artifices inutiles, les goûts sont francs. La tarte du jour à l’orange est toute mignonne avec sa couronne meringuée juste dorée. D’agréables glaces et sorbets maison, préparés au gré de l’humeur du chef, viennent clore ce repas au goût de reviens-y. A midi, n’hésitez pas à venir en bateau: la promenade sur un vapeur Belle Epoque est un enchantement.