Café de l'Union
Le Café de l’Union, c’est une histoire de famille créée par l’arrière-arrière-grand-père de Christopher (au fourneaux) et de Julien (en salle), tous deux fiers de cet héritage plus que centenaire. C’est aussi une de ces auberges de campagne comme on les aime, bonne, sans chichi inutile et généreuse. La salle est pleine, l’ambiance animée, on parle indifféremment français ou anglais, on se tutoie, on se fait la bise, bref, on est ici chez soi. Les frères Brocard nous proposent une cuisine du terroir qui ne dédaigne pas quelques incursions du côté de l’ailleurs, comme en témoignent ces currys «selon les inspirations du chef» ou encore le carpaccio de bœuf à la thaïlandaise. Toujours dans l’idée d’une cuisine fusion, le tartare de thon rouge au sésame et citron vert relevé avec beaucoup de délicatesse est irréprochable. En suggestion, Julien nous propose une généreuse souris d’agneau confite huit heures qui se mange à la cuillère, soulignée d’un jus sapide et accompagnée de légumes-racines tout aussi fondants. Côté mer, le cabillaud skrei délicatement cuit à la plancha se défait en beaux pétales nacrés. Il est rehaussé d’une chouette sauce légèrement citronnée qui lui apporte une pointe d’acidité qui le met en joie. Il est accompagné d’un généreux et roboratif risotto à la courge qui pourrait se suffire à lui-même, nous n’avons pas réussi à finir! Au rayon des desserts, nous avons adoré la tarte au citron déstructurée à l’équilibre impeccable ou encore, rareté d’un autre temps, un très bel irish coffee. Le service est au top, aimable, dynamique et empressé. Tout le monde ici se préoccupe du confort du client et cela se sent.
Le Café de l’Union, c’est une histoire de famille créée par l’arrière-arrière-grand-père de Christopher (au fourneaux) et de Julien (en salle), tous deux fiers de cet héritage plus que centenaire. C’est aussi une de ces auberges de campagne comme on les aime, bonne, sans chichi inutile et généreuse. La salle est pleine, l’ambiance animée, on parle indifféremment français ou anglais, on se tutoie, on se fait la bise, bref, on est ici chez soi. Les frères Brocard nous proposent une cuisine du terroir qui ne dédaigne pas quelques incursions du côté de l’ailleurs, comme en témoignent ces currys «selon les inspirations du chef» ou encore le carpaccio de bœuf à la thaïlandaise. Toujours dans l’idée d’une cuisine fusion, le tartare de thon rouge au sésame et citron vert relevé avec beaucoup de délicatesse est irréprochable. En suggestion, Julien nous propose une généreuse souris d’agneau confite huit heures qui se mange à la cuillère, soulignée d’un jus sapide et accompagnée de légumes-racines tout aussi fondants. Côté mer, le cabillaud skrei délicatement cuit à la plancha se défait en beaux pétales nacrés. Il est rehaussé d’une chouette sauce légèrement citronnée qui lui apporte une pointe d’acidité qui le met en joie. Il est accompagné d’un généreux et roboratif risotto à la courge qui pourrait se suffire à lui-même, nous n’avons pas réussi à finir! Au rayon des desserts, nous avons adoré la tarte au citron déstructurée à l’équilibre impeccable ou encore, rareté d’un autre temps, un très bel irish coffee. Le service est au top, aimable, dynamique et empressé. Tout le monde ici se préoccupe du confort du client et cela se sent.