Boléro Bistro
Au Boléro, les années se suivent mais ne se ressemblent guère. L’an dernier, nous avions annoncé l’arrivée de la jeune cheffe Perrine Thille, originaire de Grenoble. C’est désormais William Beguin qui œuvre en cuisine, après avoir affûté ses armes à La Chaumière, à Troinex, sous la direction du chef Serge Labrosse. A l’évidence, il maintient le cap.
La carte des tapas, et son joli choix de bouchées à partager, est toujours aussi gourmande, avec une mention toute spéciale pour cet exquis houmous, agrémenté d’une myriade d’épices et d’une goûteuse huile infusée à la coriandre.
Côté menu, l’offre bistronomique à 65 francs inclut entrée, plat et dessert à choisir parmi un florilège de propositions. On a littéralement craqué pour ce tataki de thon et sa subtile marinade au citron vert, escortés d’un très original coleslaw mêlant algues et chou rouge. Les fines tranches de bœuf marinées sont, elles, un brin trop salées, mais on apprécie particulièrement les endives confites qui leur donnent la réplique avec une pointe de gel citronné.
Puis le confit de bœuf aux choux et le thon saku et ses légumes de saison, agrémentés d’un bouillon dashi, sont tout simplement divins. Tant la viande que le poisson sont cuits à la perfection. Le jus de viande qui agrémente le bœuf est dense et goûteux. Le bouillon dashi apporte une petite touche umami qui sied à merveille au poisson. Enfin, la brioche perdue, mariée à la vanille et à la mandarine, est un régal absolu.


Au Boléro, les années se suivent mais ne se ressemblent guère. L’an dernier, nous avions annoncé l’arrivée de la jeune cheffe Perrine Thille, originaire de Grenoble. C’est désormais William Beguin qui œuvre en cuisine, après avoir affûté ses armes à La Chaumière, à Troinex, sous la direction du chef Serge Labrosse. A l’évidence, il maintient le cap.
La carte des tapas, et son joli choix de bouchées à partager, est toujours aussi gourmande, avec une mention toute spéciale pour cet exquis houmous, agrémenté d’une myriade d’épices et d’une goûteuse huile infusée à la coriandre.
Côté menu, l’offre bistronomique à 65 francs inclut entrée, plat et dessert à choisir parmi un florilège de propositions. On a littéralement craqué pour ce tataki de thon et sa subtile marinade au citron vert, escortés d’un très original coleslaw mêlant algues et chou rouge. Les fines tranches de bœuf marinées sont, elles, un brin trop salées, mais on apprécie particulièrement les endives confites qui leur donnent la réplique avec une pointe de gel citronné.
Puis le confit de bœuf aux choux et le thon saku et ses légumes de saison, agrémentés d’un bouillon dashi, sont tout simplement divins. Tant la viande que le poisson sont cuits à la perfection. Le jus de viande qui agrémente le bœuf est dense et goûteux. Le bouillon dashi apporte une petite touche umami qui sied à merveille au poisson. Enfin, la brioche perdue, mariée à la vanille et à la mandarine, est un régal absolu.