Boléro Bistro
Juste en face de la gare, différents espaces se côtoient dans un même lieu: la terrasse avec vue sur les jets d’eau de la place, la salle à manger plus feutrée, la brasserie avec des tables mi-hautes, sans oublier le coin concert certains soirs.
Depuis 2017, le Bistrot Boléro est néanmoins passé d’une cuisine créative de haut niveau à celle d’un très bon bar à tapas aux accents anglo-américains: en dehors de quelques créations à dénicher parmi les entrées, la carte fait la part belle aux burgers, fish and chips et travers de porc grillés. D’où la perte d’un point cette année.
Cela dit, les corps des tendres calamaretti arrivent dressés sur une mousse d’artichauts, tandis que têtes et tentacules en version croustillante forment une jolie corole. Une sauce au chorizo et citron vert relève à merveille la préparation. Le thon rouge à l’avocat et au piment avec quelques rouelles d’oignons printaniers, servi dans un mode relevant du tartare et du ceviche, est très rafraîchissant. Le romsteck de black angus, servi sur une grande planche de bois et accompagné d’une sucrine braisée et de piments de Padrón, l’un très doux et l’autre très fort, aurait pu être plus tendre. On dénote également une légère sécheresse qu’une mousse au beurre très aérée façon diable peine à masquer. La tartelette meringuée alliant agréablement légèreté, onctuosité et côté rafraîchissant du citron fait un joli point final.
Belle carte des vins, avec un large choix de crus au verre. Le personnel reste toujours aussi cordial et efficace.
Juste en face de la gare, différents espaces se côtoient dans un même lieu: la terrasse avec vue sur les jets d’eau de la place, la salle à manger plus feutrée, la brasserie avec des tables mi-hautes, sans oublier le coin concert certains soirs.
Depuis 2017, le Bistrot Boléro est néanmoins passé d’une cuisine créative de haut niveau à celle d’un très bon bar à tapas aux accents anglo-américains: en dehors de quelques créations à dénicher parmi les entrées, la carte fait la part belle aux burgers, fish and chips et travers de porc grillés. D’où la perte d’un point cette année.
Cela dit, les corps des tendres calamaretti arrivent dressés sur une mousse d’artichauts, tandis que têtes et tentacules en version croustillante forment une jolie corole. Une sauce au chorizo et citron vert relève à merveille la préparation. Le thon rouge à l’avocat et au piment avec quelques rouelles d’oignons printaniers, servi dans un mode relevant du tartare et du ceviche, est très rafraîchissant. Le romsteck de black angus, servi sur une grande planche de bois et accompagné d’une sucrine braisée et de piments de Padrón, l’un très doux et l’autre très fort, aurait pu être plus tendre. On dénote également une légère sécheresse qu’une mousse au beurre très aérée façon diable peine à masquer. La tartelette meringuée alliant agréablement légèreté, onctuosité et côté rafraîchissant du citron fait un joli point final.
Belle carte des vins, avec un large choix de crus au verre. Le personnel reste toujours aussi cordial et efficace.