La Poesia
Depuis près de dix ans, La Poesia s’est imposée comme une référence transalpine. L’accueil y est convivial et chantant, avec cette pointe d’accent italien qui donne le ton. Dans un cadre sobre et chaleureux, l’Italie s’y raconte à travers des plats que l’on retrouve au fil des années sans perdre en justesse, ni en gourmandise.
Le carpaccio de bar, de thon et de dorade est tout en équilibre. L’huile au gingembre relève la fraîcheur des poissons, tandis que le croquant du fenouil et la douceur des suprêmes d’orange apportent une harmonie bienvenue.
Le risotto acquerello au noir de seiche joue le contraste entre le lard des Pouilles et la rondeur idoée de la chair d’oursin. Les pâtes fraîches tournées en meule de parmesan et garnies généreusement de lamelles de truffe offrent une belle gourmandise aux notes terreuses. Tout comme les ravioli casoncelli, façonnés maison et farcis de lapin à la cacciatora, que la finition au beurre de thym rend irrésistibles.
Puis la côte de veau au four séduit par sa simplicité. Saisie à la perfection, elle repose sur une crème de basilic et s’accompagne d’une jardinière de légumes de saison.
Pour conclure, le dôme de mousse au citron, accompagné d’une macédoine de fraises et d’un nuage de limoncello, apporte une touche de légèreté bienvenue.
La carte des vins, riche et soignée, propose un bel éventail de crus transalpins et des options au verre bien choisies.
La Poesia ne se réinvente pas, elle s’affirme et traverse le temps avec constance et maîtrise.


Depuis près de dix ans, La Poesia s’est imposée comme une référence transalpine. L’accueil y est convivial et chantant, avec cette pointe d’accent italien qui donne le ton. Dans un cadre sobre et chaleureux, l’Italie s’y raconte à travers des plats que l’on retrouve au fil des années sans perdre en justesse, ni en gourmandise.
Le carpaccio de bar, de thon et de dorade est tout en équilibre. L’huile au gingembre relève la fraîcheur des poissons, tandis que le croquant du fenouil et la douceur des suprêmes d’orange apportent une harmonie bienvenue.
Le risotto acquerello au noir de seiche joue le contraste entre le lard des Pouilles et la rondeur idoée de la chair d’oursin. Les pâtes fraîches tournées en meule de parmesan et garnies généreusement de lamelles de truffe offrent une belle gourmandise aux notes terreuses. Tout comme les ravioli casoncelli, façonnés maison et farcis de lapin à la cacciatora, que la finition au beurre de thym rend irrésistibles.
Puis la côte de veau au four séduit par sa simplicité. Saisie à la perfection, elle repose sur une crème de basilic et s’accompagne d’une jardinière de légumes de saison.
Pour conclure, le dôme de mousse au citron, accompagné d’une macédoine de fraises et d’un nuage de limoncello, apporte une touche de légèreté bienvenue.
La carte des vins, riche et soignée, propose un bel éventail de crus transalpins et des options au verre bien choisies.
La Poesia ne se réinvente pas, elle s’affirme et traverse le temps avec constance et maîtrise.