
Myo Sushi Bar
Alors que les restaurants japonais se multiplient, le Myo s’est imposé comme une institution. Ici, on perpétue une vision exigeante de la cuisine nippone. Sur l’esplanade de Montbenon, dans un cadre lumineux, les grandes baies vitrées ouvrent sur un panorama saisissant entre lac et montagnes. A l’intérieur, les tables hautes rapprochent les convives, on y déguste coude à coude une cuisine délicate.
Le Myo fait le choix de la fraîcheur et du respect des ressources marines, renonçant par exemple au thon pour des alternatives plus durables. La carte célèbre les poissons sauvages: la dorade et la bonite, ou encore l’anguille. Parmi les incontournables, le gunkan nigiri aux œufs de saumon éclate en bouche, tandis que celui au corail d’oursin séduit par son intensité iodée.
La carte des vins propose une sélection en biodynamie, avec en particulier un chasselas qui vient souligner la délicatesse du riz vinaigré et des poissons crus.
Parmi les entrées chaudes, les gyozas croustillants aux crevettes sauvages sont relevés de chou pointu et de gingembre. L’émincé de bœuf au gingembre, mijoté dans un mélange de mirin et de saké, joue sur un équilibre entre douceur et umami.
Les douceurs s’écartent un peu de la culture nippone, avec la crème brûlée à la verveine citronnée ou la glace au matcha associée au sorbet chocolat. Mais il terminent le repas avec finesse.


Alors que les restaurants japonais se multiplient, le Myo s’est imposé comme une institution. Ici, on perpétue une vision exigeante de la cuisine nippone. Sur l’esplanade de Montbenon, dans un cadre lumineux, les grandes baies vitrées ouvrent sur un panorama saisissant entre lac et montagnes. A l’intérieur, les tables hautes rapprochent les convives, on y déguste coude à coude une cuisine délicate.
Le Myo fait le choix de la fraîcheur et du respect des ressources marines, renonçant par exemple au thon pour des alternatives plus durables. La carte célèbre les poissons sauvages: la dorade et la bonite, ou encore l’anguille. Parmi les incontournables, le gunkan nigiri aux œufs de saumon éclate en bouche, tandis que celui au corail d’oursin séduit par son intensité iodée.
La carte des vins propose une sélection en biodynamie, avec en particulier un chasselas qui vient souligner la délicatesse du riz vinaigré et des poissons crus.
Parmi les entrées chaudes, les gyozas croustillants aux crevettes sauvages sont relevés de chou pointu et de gingembre. L’émincé de bœuf au gingembre, mijoté dans un mélange de mirin et de saké, joue sur un équilibre entre douceur et umami.
Les douceurs s’écartent un peu de la culture nippone, avec la crème brûlée à la verveine citronnée ou la glace au matcha associée au sorbet chocolat. Mais il terminent le repas avec finesse.


