Myo Sushi Bar
Perché sur l’esplanade de Montbenon, le Myo défend la cuisine japonaise avec une grande constance depuis 1996. A l’extérieur, ce pavillon épuré est bordé d’une agréable terrasse. A l’intérieur, les convives se côtoient le long de trois tables étroites et hautes et d’un bar qui permet d’admirer les maîtres sushis à l’œuvre.
Dans les assiettes, tout n’est que fraîcheur, qualité et savoir-faire. Les poissons arrivent frais et entiers tous les jours et sont transformés en merveilleux sushis, sashimis et autres spécialités de poisson cru au gré des commandes.
Même si la carte des autres mets est plutôt restreinte, elle recèle quelques pépites qui valent la découverte, à l’instar de cet ikayaki (calamar grillé à la plancha) délicatement relevé par une sauce ponzu (aux agrumes japonais) et accompagné de radis râpé et de citron vert pour un résultat tout en fraîcheur. Presque un peu écœurantes, car très largement servies, les nouilles udon sautées au poulet n’en restent pas moins très bien réalisées, avec une sauce sucrée-salée onctueuse et des légumes juste croquants.
Au dessert, les anko makis (crêpes aux haricots rouges) sont originaux mais tellement bourratifs qu’il est préférable de se tourner vers une boule de glace au sésame noir ou un sorbet au thé vert.
La carte des vins paraît courte, mais quelques sakés méritent une attention particulière. Quant au service, il est discret et efficace.
Perché sur l’esplanade de Montbenon, le Myo défend la cuisine japonaise avec une grande constance depuis 1996. A l’extérieur, ce pavillon épuré est bordé d’une agréable terrasse. A l’intérieur, les convives se côtoient le long de trois tables étroites et hautes et d’un bar qui permet d’admirer les maîtres sushis à l’œuvre.
Dans les assiettes, tout n’est que fraîcheur, qualité et savoir-faire. Les poissons arrivent frais et entiers tous les jours et sont transformés en merveilleux sushis, sashimis et autres spécialités de poisson cru au gré des commandes.
Même si la carte des autres mets est plutôt restreinte, elle recèle quelques pépites qui valent la découverte, à l’instar de cet ikayaki (calamar grillé à la plancha) délicatement relevé par une sauce ponzu (aux agrumes japonais) et accompagné de radis râpé et de citron vert pour un résultat tout en fraîcheur. Presque un peu écœurantes, car très largement servies, les nouilles udon sautées au poulet n’en restent pas moins très bien réalisées, avec une sauce sucrée-salée onctueuse et des légumes juste croquants.
Au dessert, les anko makis (crêpes aux haricots rouges) sont originaux mais tellement bourratifs qu’il est préférable de se tourner vers une boule de glace au sésame noir ou un sorbet au thé vert.
La carte des vins paraît courte, mais quelques sakés méritent une attention particulière. Quant au service, il est discret et efficace.