La Maison Crans Montana
Donnant sur le golf, l’ancien XIXe a été repris, rénové et relancé avec élégance par l’équipe du restaurant genevois Arakel, «Découverte de l’année» 2025. Les patrons, Arakel Sedef et Julien Samson, font ici confiance à Damien Da Rugna, directeur de restaurant, et à Cyrillia Guillerand, maître d’hôtel et sommelière. Si le chef d’Arakel, Quentin Philippe, est «en soutien», on vise ici une bonne brasserie et non une table gastronomique.
Il n’en reste pas moins que la prestation vaut le détour. Les tacos au thon ikejime (une technique qui permet de tuer le poisson sans le faire souffrir), mayonnaise à l'huile fumée et mandarine commencent le repas en fraîcheur, avant que les champignons en tartelette, malgré une pâte épaisse, soient égayés d’un «nuage de parmesan» et de lamelles de truffe râpées à table. Gourmand!
En salle, le décor est raffiné et les larges baies vitrées laissaient apercevoir des classes de ski sur le golf enneigé. On se réchauffe alors avec la pêche du jour, un cabillaud skrei nacré escorté de légumes anciens rôtis et fondants, d’une hollandaise acidulée au beurre noisette, le tout parsemé de brisures de noisettes. Enfin, le tiramisu à la cuillère – un grand tiramisu apporté sur table et servi à côté d’une divine glace au café maison – est toutefois un peu trop imbibé. On finit avec un sourire, avec une mandarine pour accompagner le café. Comme à la maison!


Donnant sur le golf, l’ancien XIXe a été repris, rénové et relancé avec élégance par l’équipe du restaurant genevois Arakel, «Découverte de l’année» 2025. Les patrons, Arakel Sedef et Julien Samson, font ici confiance à Damien Da Rugna, directeur de restaurant, et à Cyrillia Guillerand, maître d’hôtel et sommelière. Si le chef d’Arakel, Quentin Philippe, est «en soutien», on vise ici une bonne brasserie et non une table gastronomique.
Il n’en reste pas moins que la prestation vaut le détour. Les tacos au thon ikejime (une technique qui permet de tuer le poisson sans le faire souffrir), mayonnaise à l'huile fumée et mandarine commencent le repas en fraîcheur, avant que les champignons en tartelette, malgré une pâte épaisse, soient égayés d’un «nuage de parmesan» et de lamelles de truffe râpées à table. Gourmand!
En salle, le décor est raffiné et les larges baies vitrées laissaient apercevoir des classes de ski sur le golf enneigé. On se réchauffe alors avec la pêche du jour, un cabillaud skrei nacré escorté de légumes anciens rôtis et fondants, d’une hollandaise acidulée au beurre noisette, le tout parsemé de brisures de noisettes. Enfin, le tiramisu à la cuillère – un grand tiramisu apporté sur table et servi à côté d’une divine glace au café maison – est toutefois un peu trop imbibé. On finit avec un sourire, avec une mandarine pour accompagner le café. Comme à la maison!