Guarda Golf Hotel & Residences
Le restaurant un peu sombre de ce cinq-étoiles est mené d’une main de maître par Félicien Christe. Boulanger-pâtissier de formation, le chef a bourlingué entre Australie, France, Grande-Bretagne et Valais. Sa cuisine levantine déroute autant qu’elle envoûte.
Alors que l’on découvre une carte de petits plats à partager (ou pas, comme précisent en souriant les avenants serveurs), on croque dans un amuse-bouche mariant homard, citron et grenade. Riche en textures et en saveurs, c’est une belle entrée en matière. Puis les champignons et leur panna cotta se couvrent de croûtons pour ravir des papilles déjà conquises. Les feuilles de vigne à la légère acidité sont presque crémeuses. Citronné, le tartare de saumon au tahini ne convainc pas autant que la fraîche salade de concombre, tomate, poivron et noix, nappée d’une douce vinaigrette. Enfin, les falafels croquants sont fabuleux avec leur sauce au tahini.
On poursuit avec les tendres lamelles de cuisse de poulet grillé au beurre aux épices orientales. Le jus relevé assure une explosion de saveurs: bravo! Les pommes de terre fondantes sont un délice.
Le dessert surpasse tout: un très graphique cylindre de meringue poudrée de rose et recouverte d’une lamelle d’orange sanguine séchée. La quenelle de sorbet au kéfir se déguste avec gourmandise alors que, à l’intérieur, intense espuma framboises-sumac, savoureux parfait glacé au gingembre, douce compotée et puissant jus de framboises dialoguent pour une impeccable conclusion.
Le restaurant un peu sombre de ce cinq-étoiles est mené d’une main de maître par Félicien Christe. Boulanger-pâtissier de formation, le chef a bourlingué entre Australie, France, Grande-Bretagne et Valais. Sa cuisine levantine déroute autant qu’elle envoûte.
Alors que l’on découvre une carte de petits plats à partager (ou pas, comme précisent en souriant les avenants serveurs), on croque dans un amuse-bouche mariant homard, citron et grenade. Riche en textures et en saveurs, c’est une belle entrée en matière. Puis les champignons et leur panna cotta se couvrent de croûtons pour ravir des papilles déjà conquises. Les feuilles de vigne à la légère acidité sont presque crémeuses. Citronné, le tartare de saumon au tahini ne convainc pas autant que la fraîche salade de concombre, tomate, poivron et noix, nappée d’une douce vinaigrette. Enfin, les falafels croquants sont fabuleux avec leur sauce au tahini.
On poursuit avec les tendres lamelles de cuisse de poulet grillé au beurre aux épices orientales. Le jus relevé assure une explosion de saveurs: bravo! Les pommes de terre fondantes sont un délice.
Le dessert surpasse tout: un très graphique cylindre de meringue poudrée de rose et recouverte d’une lamelle d’orange sanguine séchée. La quenelle de sorbet au kéfir se déguste avec gourmandise alors que, à l’intérieur, intense espuma framboises-sumac, savoureux parfait glacé au gingembre, douce compotée et puissant jus de framboises dialoguent pour une impeccable conclusion.