Guarda Golf Hotel & Residences
L’accueil est digne du cinq-étoiles qui abrite ce restaurant: voiturier, personnel affable, décor de chalet de luxe. La vaste terrasse fait face aux montagnes jusqu’au Weisshorn. L’été, on y prend un apéritif accompagné d’un amuse-bouche façon croque-monsieur, garni d’une farce de saumon tiédie, de truffe noire ou de tataki de thon parsemé de jaune d’œuf râpé. Belle entrée en matière prometteuse.
Ici, la cuisine est d’inspiration levantine. Le chef, Félicien Christe, s’est entouré de cuisiniers de tout le bassin méditerranéen et propose d’abord une belle liste de mezzés libanais ou turcs, ainsi que de savoureux antipastis transalpins, revisités en version gastronomique.
Ainsi ce köpoglu qui mêle aubergine, poivron et courgette frits, liés au yaourt et garnis d’une goûteuse réduction de tomates. Ou encore les börek, délicats cigares de yufka frits, farcis au fromage et aux herbes fraîches. Le dépaysement se poursuit avec ce karides, composé de crevettes sautées au beurre persillé servies avec un mijoté de tomates et parsemées de feta. Les saveurs des olives et des câpres viennent ensoleiller ce plat. Et un élégant tartare de dorade arrive agrémenté d’une vinaigrette aux herbes qui manque de vivacité. Il est garni de pickles et d’une louche de caviar. Tous les mezzés, livrés ensemble, donnent à la table des airs de banquet.
La puissance des fragrances orientales est encore plus marquée dans ce kuzu, un pressé d’agneau confit aux épices torréfiées, garni d’échalotes croustillantes et d’un puissant jus d’agneau. Autre belle surprise, le dana, de fines tranches de bœuf sautées, parfaitement assaisonnées. Une sorte de kebab idéalisé.
L’Orient ne peut être évoqué sans ses desserts. A commencer par une tarte tiède à l’abricot, joliment montée sur un kadaïf croustillant avec une glace marbrée sureau-abricot. C’est à la fois gourmand et subtil. Le mariage pêche fraîche et estragon, avec un parfait glacé au yaourt, arrive dans une délicate coque de meringue, surmonté d’un sorbet à la pêche. C’est Irina Kupenska qui érige ces desserts en apothéose.
La carte des vins est riche et, pour ceux qui veulent atteindre les sommets sans faire de grimpe, il y a un Richebourg Grand Cru de la Romanée-Conti.
L’accueil est digne du cinq-étoiles qui abrite ce restaurant: voiturier, personnel affable, décor de chalet de luxe. La vaste terrasse fait face aux montagnes jusqu’au Weisshorn. L’été, on y prend un apéritif accompagné d’un amuse-bouche façon croque-monsieur, garni d’une farce de saumon tiédie, de truffe noire ou de tataki de thon parsemé de jaune d’œuf râpé. Belle entrée en matière prometteuse.
Ici, la cuisine est d’inspiration levantine. Le chef, Félicien Christe, s’est entouré de cuisiniers de tout le bassin méditerranéen et propose d’abord une belle liste de mezzés libanais ou turcs, ainsi que de savoureux antipastis transalpins, revisités en version gastronomique.
Ainsi ce köpoglu qui mêle aubergine, poivron et courgette frits, liés au yaourt et garnis d’une goûteuse réduction de tomates. Ou encore les börek, délicats cigares de yufka frits, farcis au fromage et aux herbes fraîches. Le dépaysement se poursuit avec ce karides, composé de crevettes sautées au beurre persillé servies avec un mijoté de tomates et parsemées de feta. Les saveurs des olives et des câpres viennent ensoleiller ce plat. Et un élégant tartare de dorade arrive agrémenté d’une vinaigrette aux herbes qui manque de vivacité. Il est garni de pickles et d’une louche de caviar. Tous les mezzés, livrés ensemble, donnent à la table des airs de banquet.
La puissance des fragrances orientales est encore plus marquée dans ce kuzu, un pressé d’agneau confit aux épices torréfiées, garni d’échalotes croustillantes et d’un puissant jus d’agneau. Autre belle surprise, le dana, de fines tranches de bœuf sautées, parfaitement assaisonnées. Une sorte de kebab idéalisé.
L’Orient ne peut être évoqué sans ses desserts. A commencer par une tarte tiède à l’abricot, joliment montée sur un kadaïf croustillant avec une glace marbrée sureau-abricot. C’est à la fois gourmand et subtil. Le mariage pêche fraîche et estragon, avec un parfait glacé au yaourt, arrive dans une délicate coque de meringue, surmonté d’un sorbet à la pêche. C’est Irina Kupenska qui érige ces desserts en apothéose.
La carte des vins est riche et, pour ceux qui veulent atteindre les sommets sans faire de grimpe, il y a un Richebourg Grand Cru de la Romanée-Conti.