Crans Ambassador
De la cuisine nippo-péruvienne? C’est ce que propose l’Ambassador, l’immense hôtel cinq étoiles du Haut-Plateau. Le nouveau restaurant offrant une vue à couper le souffle sur les Alpes valaisannes se nomme La Muña. C’est un concept que son propriétaire, Michel Reybier, met en œuvre dans ses nombreux établissements. La cheffe de cuisine Miya Gunji nous est familière parce qu’elle a déjà inauguré un restaurant La Muña à l’hôtel La Réserve Eden au Lac à Zurich.
C’est surtout le chapitre «Crudo» qui interpelle, avec ses spécialités préparées sur le comptoir, sous les yeux des clients. En guise de première entrée, le «Suzuki ceviche» séduit: bar, soja, limette et copeaux de truffe noire. Le «Hamachi tiradito» est très demandé dans les La Muña de Zurich, de Zermatt et de Crans-Montana, car l’harmonie entre carpaccio de sériole, sauce yuzu-soja, salade d’algues kaiso et piment jalapeño s’avère parfaite. Passons maintenant au registre «Caliente». Le classique «Gindara», du black cod mariné au miso, se savoure bouchée après bouchée. L’entrecôte s’accommode à merveille de sa sauce gyuniku et de la pâte de piment yuzu kosho. Nous découvrons cette fois-ci les «Pop-corn shrimps», des crevettes en tempura à la mayonnaise épicée. Les plats végétariens ne manquent pas: gyozas de légumes grillés, nouilles sautées aux carottes, algues kombu et shiitakés. On le sait, le Valais est le plus grand producteur de vin de Suisse. Hélas, la carte ne le reflète pas, où seulement une demi-douzaine de vignerons de la région sont listés.
De la cuisine nippo-péruvienne? C’est ce que propose l’Ambassador, l’immense hôtel cinq étoiles du Haut-Plateau. Le nouveau restaurant offrant une vue à couper le souffle sur les Alpes valaisannes se nomme La Muña. C’est un concept que son propriétaire, Michel Reybier, met en œuvre dans ses nombreux établissements. La cheffe de cuisine Miya Gunji nous est familière parce qu’elle a déjà inauguré un restaurant La Muña à l’hôtel La Réserve Eden au Lac à Zurich.
C’est surtout le chapitre «Crudo» qui interpelle, avec ses spécialités préparées sur le comptoir, sous les yeux des clients. En guise de première entrée, le «Suzuki ceviche» séduit: bar, soja, limette et copeaux de truffe noire. Le «Hamachi tiradito» est très demandé dans les La Muña de Zurich, de Zermatt et de Crans-Montana, car l’harmonie entre carpaccio de sériole, sauce yuzu-soja, salade d’algues kaiso et piment jalapeño s’avère parfaite. Passons maintenant au registre «Caliente». Le classique «Gindara», du black cod mariné au miso, se savoure bouchée après bouchée. L’entrecôte s’accommode à merveille de sa sauce gyuniku et de la pâte de piment yuzu kosho. Nous découvrons cette fois-ci les «Pop-corn shrimps», des crevettes en tempura à la mayonnaise épicée. Les plats végétariens ne manquent pas: gyozas de légumes grillés, nouilles sautées aux carottes, algues kombu et shiitakés. On le sait, le Valais est le plus grand producteur de vin de Suisse. Hélas, la carte ne le reflète pas, où seulement une demi-douzaine de vignerons de la région sont listés.