Crans Ambassador
Mettre en scène la rencontre, dans un hôtel de luxe, entre un paysage de montagnes valaisannes et la cuisine nikkei, fusion nippo-péruvienne, relève d’une bonne intuition hédoniste. Le «Crudo», des entrées réalisées à la minute par la cheffe asiatique experte qui opère dans la salle, met en valeur les poissons, entre carpaccio, tataki et ceviche de thon au sésame ou de bar à la truffe. Réalisé à la vinaigrette shiso, le ceviche de Saint-Jacques, parfumé de coriandre, est servi avec une sauce au yuzu bien équilibrée entre acidité et onctuosité. Le coup de cœur va toutefois au saisissant «Crispy maguro», un tartare de thon subtilement crémeux, mais bien relevé, servi sur une bouchée de riz frit croustillant à se damner. Ce contraste de textures, simple et efficace, entre frais et tiède, cru et cuit, est plus que savoureux. Pour suivre, le «Caliente», autrement dit les plats chauds, tels ces légumes en tempura, ce poisson mariné au miso ou cette entrecôte de bœuf sauce gyuniku, relève de cette fusion culinaire qui marie le soja et le saké de l’Asie au piment, à l’oignon, au citron vert et à la coco de l’Amérique latine. Ainsi ces crevettes géantes grillées, dont une sauce crémée et l’autre acidulée et parfumée à la coriandre accommodent une chair par ailleurs assez ferme. Le blanc de poulet grillé à la peau caramélisée est servi sur un lit de petits légumes taillés en lanières et gardés juteux par une cuisson sautée à la sauce teriyaki. Pour terminer sur la «Dulzor», un entremets au chocolat gianduja, brillant comme un galet laqué, révèle des nuances de textures jusqu’en son cœur et se déguste avec un sorbet fruité mangue et passion. Il fait concurrence à une délicate option framboise-hibiscus, un biscuit sablé comme il faut, une mousse suave et parfumée et un sorbet astringent assortis. La carte des vins est un voyage international luxueux et celle des cocktails est pleine de charme.
Mettre en scène la rencontre, dans un hôtel de luxe, entre un paysage de montagnes valaisannes et la cuisine nikkei, fusion nippo-péruvienne, relève d’une bonne intuition hédoniste. Le «Crudo», des entrées réalisées à la minute par la cheffe asiatique experte qui opère dans la salle, met en valeur les poissons, entre carpaccio, tataki et ceviche de thon au sésame ou de bar à la truffe. Réalisé à la vinaigrette shiso, le ceviche de Saint-Jacques, parfumé de coriandre, est servi avec une sauce au yuzu bien équilibrée entre acidité et onctuosité. Le coup de cœur va toutefois au saisissant «Crispy maguro», un tartare de thon subtilement crémeux, mais bien relevé, servi sur une bouchée de riz frit croustillant à se damner. Ce contraste de textures, simple et efficace, entre frais et tiède, cru et cuit, est plus que savoureux. Pour suivre, le «Caliente», autrement dit les plats chauds, tels ces légumes en tempura, ce poisson mariné au miso ou cette entrecôte de bœuf sauce gyuniku, relève de cette fusion culinaire qui marie le soja et le saké de l’Asie au piment, à l’oignon, au citron vert et à la coco de l’Amérique latine. Ainsi ces crevettes géantes grillées, dont une sauce crémée et l’autre acidulée et parfumée à la coriandre accommodent une chair par ailleurs assez ferme. Le blanc de poulet grillé à la peau caramélisée est servi sur un lit de petits légumes taillés en lanières et gardés juteux par une cuisson sautée à la sauce teriyaki. Pour terminer sur la «Dulzor», un entremets au chocolat gianduja, brillant comme un galet laqué, révèle des nuances de textures jusqu’en son cœur et se déguste avec un sorbet fruité mangue et passion. Il fait concurrence à une délicate option framboise-hibiscus, un biscuit sablé comme il faut, une mousse suave et parfumée et un sorbet astringent assortis. La carte des vins est un voyage international luxueux et celle des cocktails est pleine de charme.