Casy
Il est cosy, ce Casy! Ses lignes modernes et son mobilier élégant donnent envie de s’y attabler, et le four à pizza à bois, bien mis en valeur, titille encore plus l’appétit. Car le Casy, c’est un méli-mélo de cuisines proposé par le chef Sylvain Stefanazzi Ogi. Son avenante épouse Caroline, fille de l’ancien président de la Confédération Adolf Ogi, joue à merveille son rôle de directrice de salle, distillant de gentils mots et s’inquiétant du bien-être de ses hôtes.
A table, la carte confirme une cuisine un peu (trop?) diffuse: salades, dhal de lentilles, pizzas, burger, tagliatelles… Ces dernières sont un peu trop cuites et les boulettes de bœuf, mijotées dans une sauce tomate insipide, très molles. L’effilochée de veau confit, elle, est rehaussée de quelques câpres, mais on souhaiterait plus de jus… Ce qui n’est pas le cas avec le poulpe, très généreux et recouvert d’une délicieuse sauce légèrement sucrée et agréablement acidulée. La saladine de quinoa qui l’accompagne marie avec fraîcheur poivron, tomate et courgette: sympa! En sirotant l’un des mocktails maison, dont la carte fait saliver, on voit arriver un simple mais tendrissime suprême de coquelet épicé. Les pommes de terre tapées sont très gourmandes et la légèreté du tzatziki bienvenue. Le «Casy’misu», léger et réconfortant tiramisu, termine parfaitement un repas que l’on résumerait en trois mots: simple, mais bon.


Il est cosy, ce Casy! Ses lignes modernes et son mobilier élégant donnent envie de s’y attabler, et le four à pizza à bois, bien mis en valeur, titille encore plus l’appétit. Car le Casy, c’est un méli-mélo de cuisines proposé par le chef Sylvain Stefanazzi Ogi. Son avenante épouse Caroline, fille de l’ancien président de la Confédération Adolf Ogi, joue à merveille son rôle de directrice de salle, distillant de gentils mots et s’inquiétant du bien-être de ses hôtes.
A table, la carte confirme une cuisine un peu (trop?) diffuse: salades, dhal de lentilles, pizzas, burger, tagliatelles… Ces dernières sont un peu trop cuites et les boulettes de bœuf, mijotées dans une sauce tomate insipide, très molles. L’effilochée de veau confit, elle, est rehaussée de quelques câpres, mais on souhaiterait plus de jus… Ce qui n’est pas le cas avec le poulpe, très généreux et recouvert d’une délicieuse sauce légèrement sucrée et agréablement acidulée. La saladine de quinoa qui l’accompagne marie avec fraîcheur poivron, tomate et courgette: sympa! En sirotant l’un des mocktails maison, dont la carte fait saliver, on voit arriver un simple mais tendrissime suprême de coquelet épicé. Les pommes de terre tapées sont très gourmandes et la légèreté du tzatziki bienvenue. Le «Casy’misu», léger et réconfortant tiramisu, termine parfaitement un repas que l’on résumerait en trois mots: simple, mais bon.