Hôtel Six Senses
A l’écart du tumulte de la station, ce récent et imposant cinq-étoiles trône dans un écrin de verdure. Il y règne calme, confort et volupté. Une terrasse tout en granit, au mobilier cossu, invite à la détente. A l’étage inférieur, le Byakko, sobre et épuré, fait très bar de station de sports d’hiver avec sa musique de fond (un peu trop, sans doute). La nombreuse et internationale brigade de salle se montre d’une efficacité redoutable et présente les plats avec sourire et compétence. Préparés par le chef Yusuke Sasaki et sa brigade, les mets s’inspirent de la cuisine traditionnelle des montagnes japonaises, nous dit-on. Avec parfois un clin d’œil malicieux vers le Valais (tendance locavore oblige), tel ce plateau de nigiris et uramakis intitulé «Valais». Les uramakis sont simplement délicieux avec leur chair de saumon flambée et arrosés d’un trait de soja. Les saveurs sont différentes des traditionnels makis froids. La soupe miso ravit le palais avec ses shiitakés craquants de fraîcheur et son edamame d’un vert pimpant. Le dashimaki tamago (omelette japonaise servie chaude) charme par sa douceur et sa texture fondante. La truffe blanche lui offre une touche de luxe supplémentaire (même fin juin…). On craque aussi pour cette tempura de crevettes géantes, savoureuse et croustillante, accompagnée de sauce soja aromatisée, ou pour ce poulet frit à la japonaise plein de caractère à la sauce tartare revisitée. La glace au sésame noir maison est incontournable, simple, raisonnablement sucrée. Le micro-financier au matcha bien typé se cache sous un manteau de crème de mascarpone que quelques points de coulis de framboises viennent ponctuer. Intéressants accords mets-sakés conseillés par le sommelier.
A l’écart du tumulte de la station, ce récent et imposant cinq-étoiles trône dans un écrin de verdure. Il y règne calme, confort et volupté. Une terrasse tout en granit, au mobilier cossu, invite à la détente. A l’étage inférieur, le Byakko, sobre et épuré, fait très bar de station de sports d’hiver avec sa musique de fond (un peu trop, sans doute). La nombreuse et internationale brigade de salle se montre d’une efficacité redoutable et présente les plats avec sourire et compétence. Préparés par le chef Yusuke Sasaki et sa brigade, les mets s’inspirent de la cuisine traditionnelle des montagnes japonaises, nous dit-on. Avec parfois un clin d’œil malicieux vers le Valais (tendance locavore oblige), tel ce plateau de nigiris et uramakis intitulé «Valais». Les uramakis sont simplement délicieux avec leur chair de saumon flambée et arrosés d’un trait de soja. Les saveurs sont différentes des traditionnels makis froids. La soupe miso ravit le palais avec ses shiitakés craquants de fraîcheur et son edamame d’un vert pimpant. Le dashimaki tamago (omelette japonaise servie chaude) charme par sa douceur et sa texture fondante. La truffe blanche lui offre une touche de luxe supplémentaire (même fin juin…). On craque aussi pour cette tempura de crevettes géantes, savoureuse et croustillante, accompagnée de sauce soja aromatisée, ou pour ce poulet frit à la japonaise plein de caractère à la sauce tartare revisitée. La glace au sésame noir maison est incontournable, simple, raisonnablement sucrée. Le micro-financier au matcha bien typé se cache sous un manteau de crème de mascarpone que quelques points de coulis de framboises viennent ponctuer. Intéressants accords mets-sakés conseillés par le sommelier.