Komachi
Ce tout petit restaurant japonais niché dans la vieille ville reste très en vogue. Le chef Richard Grillon y réalise avec soin des plats traditionnels du pays de son épouse Ayako. Celle-ci s’affaire dans la salle aux lignes épurées où des panneaux de tissu suspendus apportent une agréable intimité.
Entrées chaudes et froides, plats de la terre, de la mer et végétariens: le choix est large et le chef ne manque pas d’inspiration pour nous transporter le temps d’un repas au Pays du Soleil levant.
Notre voyage débute avec un soyeux «Chawan-mushi», sorte de flan cuit à la vapeur dans un bol à thé, surprenant de légèreté. Même délicieuse surprise avec les délicats gyozas (raviolis cuits à la vapeur puis poêlés) au thon et aux crevettes, ainsi qu’avec la soupe miso, très umami, à base de bonite (un poisson cousin du thon) séchée.
Si quelques sushis figurent à la carte, le chef propose avant tout des plats plus cuisinés, à l’image du «Kaisen yakisoba». Ce mets de nouilles traditionnel garni de crevettes et calamars fondants est chauffé sur un teppan, ce qui lui confère un plaisant goût de grillé. De fines lamelles de gingembre rouge chapeautent et relèvent le tout.
Du côté des assiettes de la terre, les beignets de poulet «Tori Karaage» sont aussi fondants à cœur que croustillants à l’extérieur. La sauce épicée à base de soja qui les accompagne est addictive et une salade de chou aux notes sucrées de sésame adoucit l’ensemble.
Une boule de glace au thé vert termine agréablement le repas.
Un vaste choix bien documenté de sakés ainsi que quelques bières nippones ou du vin agrémentent le repas. La réservation est vivement conseillée et il faut penser à emporter de l’argent liquide, les cartes n’étant pas acceptées.


Ce tout petit restaurant japonais niché dans la vieille ville reste très en vogue. Le chef Richard Grillon y réalise avec soin des plats traditionnels du pays de son épouse Ayako. Celle-ci s’affaire dans la salle aux lignes épurées où des panneaux de tissu suspendus apportent une agréable intimité.
Entrées chaudes et froides, plats de la terre, de la mer et végétariens: le choix est large et le chef ne manque pas d’inspiration pour nous transporter le temps d’un repas au Pays du Soleil levant.
Notre voyage débute avec un soyeux «Chawan-mushi», sorte de flan cuit à la vapeur dans un bol à thé, surprenant de légèreté. Même délicieuse surprise avec les délicats gyozas (raviolis cuits à la vapeur puis poêlés) au thon et aux crevettes, ainsi qu’avec la soupe miso, très umami, à base de bonite (un poisson cousin du thon) séchée.
Si quelques sushis figurent à la carte, le chef propose avant tout des plats plus cuisinés, à l’image du «Kaisen yakisoba». Ce mets de nouilles traditionnel garni de crevettes et calamars fondants est chauffé sur un teppan, ce qui lui confère un plaisant goût de grillé. De fines lamelles de gingembre rouge chapeautent et relèvent le tout.
Du côté des assiettes de la terre, les beignets de poulet «Tori Karaage» sont aussi fondants à cœur que croustillants à l’extérieur. La sauce épicée à base de soja qui les accompagne est addictive et une salade de chou aux notes sucrées de sésame adoucit l’ensemble.
Une boule de glace au thé vert termine agréablement le repas.
Un vaste choix bien documenté de sakés ainsi que quelques bières nippones ou du vin agrémentent le repas. La réservation est vivement conseillée et il faut penser à emporter de l’argent liquide, les cartes n’étant pas acceptées.