Métropole
Toute proche de la gare, cette brasserie à l’ancienne mais fraîchement rénovée propose une cuisine signée de la main d’un chef charismatique et authentique, Cyril Schwartz. Ainsi ce ceviche de bar à la nectarine et à la vanille. Bien que la vanille reste timide, cette entrée en matière rafraîchit le palais avec bonheur. En fraîcheur toujours, le gaspacho de pastèque, proposé moins liquide que les soupes froides classiques. Il est assorti de dés de feta, pour un mariage de textures aussi réussi que son assaisonnement. Le mélange terre et mer associe médaillon de bœuf et (belle!) queue de cigale de mer. Les cuissons sont impeccables, tout comme la qualité des produits. Les deux sauces, l’une au poivron rouge et l’autre au pinot noir, sont puissantes en goût sans y laisser leur délicatesse. Petit bémol sur les légumes, en légère surcuisson, qui manquant de croquant. Dans une droite lignée de plaisir, le dessert: une crème coco-mangue délicate et équilibrée. Une fort belle table, en somme.


Toute proche de la gare, cette brasserie à l’ancienne mais fraîchement rénovée propose une cuisine signée de la main d’un chef charismatique et authentique, Cyril Schwartz. Ainsi ce ceviche de bar à la nectarine et à la vanille. Bien que la vanille reste timide, cette entrée en matière rafraîchit le palais avec bonheur. En fraîcheur toujours, le gaspacho de pastèque, proposé moins liquide que les soupes froides classiques. Il est assorti de dés de feta, pour un mariage de textures aussi réussi que son assaisonnement. Le mélange terre et mer associe médaillon de bœuf et (belle!) queue de cigale de mer. Les cuissons sont impeccables, tout comme la qualité des produits. Les deux sauces, l’une au poivron rouge et l’autre au pinot noir, sont puissantes en goût sans y laisser leur délicatesse. Petit bémol sur les légumes, en légère surcuisson, qui manquant de croquant. Dans une droite lignée de plaisir, le dessert: une crème coco-mangue délicate et équilibrée. Une fort belle table, en somme.