Métropole
A deux pas de la gare, cette brasserie familiale a su ajouter à son charme du XIXe siècle une touche de modernité et de confort grâce à une récente rénovation. Les clients viennent et reviennent avant tout pour apprécier la cuisine tout en tradition mais avec une pointe d’audace du chef Cyril Schwartz.
Ainsi, les huîtres fines d’Oléron sont pertinemment relevées par une explosive vinaigrette à l’échalote. La bisque de homard au champagne est également bien exécutée, très salée, et agrémentée de cigale de mer.
Pour les amateurs d’agneau, la tendre souris cuite durant vingt-quatre heures vaut à elle seule une visite. Sa sauce corsée est renforcée d’olives et de tomates séchées et judicieusement accompagnée de trofie fondantes.
Belle réussite également pour la voluptueuse sauce enveloppant le coq au vin. Avec ses lardons et ses oignons grelots, ce plat fait honneur à la bonne cuisine française, même si un effort de présentation serait le bienvenu.
En dessert, le classique café gourmand mériterait une pointe d’originalité supplémentaire. Soulignons tout de même que les traditionnelles mousse au chocolat et crème brûlée sont sans reproche.
Service parfois un peu lent, mais toujours chaleureux.


A deux pas de la gare, cette brasserie familiale a su ajouter à son charme du XIXe siècle une touche de modernité et de confort grâce à une récente rénovation. Les clients viennent et reviennent avant tout pour apprécier la cuisine tout en tradition mais avec une pointe d’audace du chef Cyril Schwartz.
Ainsi, les huîtres fines d’Oléron sont pertinemment relevées par une explosive vinaigrette à l’échalote. La bisque de homard au champagne est également bien exécutée, très salée, et agrémentée de cigale de mer.
Pour les amateurs d’agneau, la tendre souris cuite durant vingt-quatre heures vaut à elle seule une visite. Sa sauce corsée est renforcée d’olives et de tomates séchées et judicieusement accompagnée de trofie fondantes.
Belle réussite également pour la voluptueuse sauce enveloppant le coq au vin. Avec ses lardons et ses oignons grelots, ce plat fait honneur à la bonne cuisine française, même si un effort de présentation serait le bienvenu.
En dessert, le classique café gourmand mériterait une pointe d’originalité supplémentaire. Soulignons tout de même que les traditionnelles mousse au chocolat et crème brûlée sont sans reproche.
Service parfois un peu lent, mais toujours chaleureux.