Hôtel Lausanne Palace
La brasserie parisienne du Lausanne Palace regagne petit à petit sa superbe. Grâce à un jeune chef venu du Café Beau-Rivage, Guillaume Soares, et grâce à la nouvelle équipe de direction qui a décidé de prendre les choses en main. Les tarifs ont été revus à la baisse, la carte renoue avec la tradition, le service a retrouvé son allant et les plats leur gourmandise. Les filets de maquereau en escabèche sont impeccables. Malgré un léger manque d’assaisonnement, la raviole ouverte d’effilochée de canard à l’hydromel maison et au foie gras est aussi généreuse que voluptueuse. Le poulet rôti, tout simple, tient ses promesses, tout comme le cordon-bleu de poulet bien croustillant, et comme l’émincé de veau aux champignons. En hiver, le banc de l’écailler reste un must. Et pour terminer en douceur, le baba est imbibé de liqueur d’abricot du Valais. La crêpe Suzette – à défaut d’être préparée devant le client – est réalisée dans les règles de l’art. Il n’y a que la pêche melba qui ressemble un peu trop à une grosse coupe glacée complètement dominée par la vanille et lourde d’une chantilly étrangement collante, pour sortir du lot.


La brasserie parisienne du Lausanne Palace regagne petit à petit sa superbe. Grâce à un jeune chef venu du Café Beau-Rivage, Guillaume Soares, et grâce à la nouvelle équipe de direction qui a décidé de prendre les choses en main. Les tarifs ont été revus à la baisse, la carte renoue avec la tradition, le service a retrouvé son allant et les plats leur gourmandise. Les filets de maquereau en escabèche sont impeccables. Malgré un léger manque d’assaisonnement, la raviole ouverte d’effilochée de canard à l’hydromel maison et au foie gras est aussi généreuse que voluptueuse. Le poulet rôti, tout simple, tient ses promesses, tout comme le cordon-bleu de poulet bien croustillant, et comme l’émincé de veau aux champignons. En hiver, le banc de l’écailler reste un must. Et pour terminer en douceur, le baba est imbibé de liqueur d’abricot du Valais. La crêpe Suzette – à défaut d’être préparée devant le client – est réalisée dans les règles de l’art. Il n’y a que la pêche melba qui ressemble un peu trop à une grosse coupe glacée complètement dominée par la vanille et lourde d’une chantilly étrangement collante, pour sortir du lot.