Hôtel de Commune
Cet imposant Hôtel de Commune abrite une auberge rustique et chaleureuse dans ses des anciennes écuries.
Alban Moret, cuisinier bourlingueur, a pris la suite de son père aux commandes, faisant passer l’adresse de la tradition à l’innovation. En témoigne cette trilogie de bondelle, inspirée par la proximité du lac de Neuchâtel. Elle est déclinée en tartare rehaussé d'œufs de saumon, fumée, assaisonnée de piquillos et marinée, combinée à une mousse de raifort et citron confit. Le tartare de veau à l’italienne est une belle trouvaille. Il est joliment monté en millefeuille de brick, mêlant un assaisonnement très équilibré entre l’huile d’olive, les câpres et les tomates séchées. Le tout est parsemé de brisures de tuiles de parmesan et d’un pesto au basilic. Voilà un plat qui mérite de rester à la carte pour l’été.
On y trouve quelques apprêts de prestige, comme ce tournedos de bœuf Rossini, dont le foie gras est fondant et le tournedos tendre à souhait, servi avec une sauce au porto brillante et corsée. Les garnitures, elles, restent classiques et le plat aurait mérité une mise en scène plus aboutie. Pour rester dans le domaine de la rôtisserie qui a fait la renommée de la maison, il y a cette excellente entrecôte de wagyu, juste assaisonnée de fleur de sel et de poivre sauvage.
Côté douceurs, le semifreddo praliné au chocolat est vivifié par un sorbet à la rhubarbe. Plus consensuelle mais néanmoins gourmande, la tarte fine aux pommes arrive escortée d’une glace au caramel au beurre salé.
Une attention toute particulière est portée à la carte des vins aux jolis crus régionaux, dont une belle sélection du domaine Grillette à Cressier.
Cet imposant Hôtel de Commune abrite une auberge rustique et chaleureuse dans ses des anciennes écuries.
Alban Moret, cuisinier bourlingueur, a pris la suite de son père aux commandes, faisant passer l’adresse de la tradition à l’innovation. En témoigne cette trilogie de bondelle, inspirée par la proximité du lac de Neuchâtel. Elle est déclinée en tartare rehaussé d'œufs de saumon, fumée, assaisonnée de piquillos et marinée, combinée à une mousse de raifort et citron confit. Le tartare de veau à l’italienne est une belle trouvaille. Il est joliment monté en millefeuille de brick, mêlant un assaisonnement très équilibré entre l’huile d’olive, les câpres et les tomates séchées. Le tout est parsemé de brisures de tuiles de parmesan et d’un pesto au basilic. Voilà un plat qui mérite de rester à la carte pour l’été.
On y trouve quelques apprêts de prestige, comme ce tournedos de bœuf Rossini, dont le foie gras est fondant et le tournedos tendre à souhait, servi avec une sauce au porto brillante et corsée. Les garnitures, elles, restent classiques et le plat aurait mérité une mise en scène plus aboutie. Pour rester dans le domaine de la rôtisserie qui a fait la renommée de la maison, il y a cette excellente entrecôte de wagyu, juste assaisonnée de fleur de sel et de poivre sauvage.
Côté douceurs, le semifreddo praliné au chocolat est vivifié par un sorbet à la rhubarbe. Plus consensuelle mais néanmoins gourmande, la tarte fine aux pommes arrive escortée d’une glace au caramel au beurre salé.
Une attention toute particulière est portée à la carte des vins aux jolis crus régionaux, dont une belle sélection du domaine Grillette à Cressier.