Hotel Alpenland
Le Chalethotel Alpenland à Lauenen, près de Gstaad, est situé dans un cadre de verdure paradisiaque. La terrasse panoramique est souvent prise d’assaut par les randonneurs pendant la journée. Pour eux, le restaurant propose une carte traditionnelle. Le soir, le chef Silvio Wieland cuisine de manière plus ambitieuse, notamment avec un menu dégustation de trois ou cinq plats.
Dès les amuse-bouche, nous avons apprécié la créativité du chef, avec du thon et caviar rouge, une préparation à l’ail des ours et petits pois ainsi qu’un excellent tartare. Le ceviche de bar enveloppé dans des feuilles de nori, servi avec du couscous et de la crème d’avocat, était également délicieux. Malheureusement, le flétan était trop confit, trop sec, et même la fine mousse de curry Massaman et le chou-fleur mariné n’ont pas pu sauver grand-chose. En revanche, les raviolis farcis de yak local, accompagnés de beurre aux noix et d’un jus de sauge, étaient impeccables. Le duo de coquelets de l’Alpstein, poitrine rôtie et cuisse frite, était simple mais délicieux, tout comme la trilogie de chocolat à la rhubarbe qui a clôturé le repas.
Le Chalethotel Alpenland à Lauenen, près de Gstaad, est situé dans un cadre de verdure paradisiaque. La terrasse panoramique est souvent prise d’assaut par les randonneurs pendant la journée. Pour eux, le restaurant propose une carte traditionnelle. Le soir, le chef Silvio Wieland cuisine de manière plus ambitieuse, notamment avec un menu dégustation de trois ou cinq plats.
Dès les amuse-bouche, nous avons apprécié la créativité du chef, avec du thon et caviar rouge, une préparation à l’ail des ours et petits pois ainsi qu’un excellent tartare. Le ceviche de bar enveloppé dans des feuilles de nori, servi avec du couscous et de la crème d’avocat, était également délicieux. Malheureusement, le flétan était trop confit, trop sec, et même la fine mousse de curry Massaman et le chou-fleur mariné n’ont pas pu sauver grand-chose. En revanche, les raviolis farcis de yak local, accompagnés de beurre aux noix et d’un jus de sauge, étaient impeccables. Le duo de coquelets de l’Alpstein, poitrine rôtie et cuisse frite, était simple mais délicieux, tout comme la trilogie de chocolat à la rhubarbe qui a clôturé le repas.