
CoinCoin
CoinCoin est au coin… du boulevard Carl-Vogt et on s’attable avec plaisir dans ce bistrot de quartier branché et à l’ambiance survoltée. Le concept est lui aussi très tendance et basé sur le partage des plats. Un service enlevé propose une succession de cinq ou six plats et un menu original basé sur la proximité des produits. On commence avec le tarama à l’huile d’olive et ses crackers maison. Et, pourquoi pas, avec un original cocktail ou un verre de vin choisi parmi des crus originaux, à l’image de ce Bivouac de Jeremy Bricka, de l’Isère: une belle découverte. Valentin Pouzet, le chef, n’oublie pas sa formation de charcutier-traiteur: voici le pâté en croûte. Ris de veau, volaille et morilles fondent en bouche, relevés de pickles de grains de moutarde. Une délectation! De saison, la petite saladine d’asperges blanches et de petits pois à l’ail des ours (cueilli par l’équipe du restaurant!) est agrémentée de copeaux de vieux gruyère. En proposition du jour, le grondin et ses coquillages servis dans une charmante vaisselle rustique s’accompagnent de quelques salicornes et d’huile de basilic. On retrouve de l’huile, mais au laurier, avec l’agneau fondant «façon tournedos». Les cuissons sont justes et les goûts subtils, mais on garde une impression d’excès de gras en fin de repas. En dessert, financier, mousse à la noisette et ganache combinent fraîcheur et légèreté. Vins, bières locales et pain excellent l’attestent: on ne nous a pas mis au coin.


CoinCoin est au coin… du boulevard Carl-Vogt et on s’attable avec plaisir dans ce bistrot de quartier branché et à l’ambiance survoltée. Le concept est lui aussi très tendance et basé sur le partage des plats. Un service enlevé propose une succession de cinq ou six plats et un menu original basé sur la proximité des produits. On commence avec le tarama à l’huile d’olive et ses crackers maison. Et, pourquoi pas, avec un original cocktail ou un verre de vin choisi parmi des crus originaux, à l’image de ce Bivouac de Jeremy Bricka, de l’Isère: une belle découverte. Valentin Pouzet, le chef, n’oublie pas sa formation de charcutier-traiteur: voici le pâté en croûte. Ris de veau, volaille et morilles fondent en bouche, relevés de pickles de grains de moutarde. Une délectation! De saison, la petite saladine d’asperges blanches et de petits pois à l’ail des ours (cueilli par l’équipe du restaurant!) est agrémentée de copeaux de vieux gruyère. En proposition du jour, le grondin et ses coquillages servis dans une charmante vaisselle rustique s’accompagnent de quelques salicornes et d’huile de basilic. On retrouve de l’huile, mais au laurier, avec l’agneau fondant «façon tournedos». Les cuissons sont justes et les goûts subtils, mais on garde une impression d’excès de gras en fin de repas. En dessert, financier, mousse à la noisette et ganache combinent fraîcheur et légèreté. Vins, bières locales et pain excellent l’attestent: on ne nous a pas mis au coin.


