Chalet les Fers
Christophe et Nadine Rod font leur retour dans le GaultMillau. Le chef de la Roseraie à Yvorne (17/20), puis de l’Auberge de Lavaux, membre des Jeunes Restaurateurs d’Europe, a choisi de changer de vie. Excellent cuisinier il est, et il le reste. Mais il a opté pour une offre conviviale dans un chalet charmant et simple, perché sur les hauts de Leysin. La vue est superbe, la maison boisée et, l’été, on mange directement sur l’herbe. Ici, sur les pistes de ski et à la croisée des chemins de randonnée, pas de fondue ou de raclette. Mais, l’hiver, des paninis voluptueux (foie gras et oignons confits, chèvre, saumon fumé) vendus en marge des pistes et qui donnent à eux seuls envie de se remettre au ski! Au resto non plus, Christophe Rod n’a pas renoncé au plaisir d’apprêter des plats gourmands, traditionnels et parfois assez luxueux. Si l’estivale soupe de tomates est rafraîchissante, le tataki de thon est un cran en dessus et offre un exotisme bienvenu. On se régale ensuite des cuisses de grenouilles rehaussées de balsamique et d’herbettes à l’ail. Délicieuses. Les couteaux Laguiole découpent sans peine le filet de bœuf aux oignons entouré de légumes croquants et de frites maison. Et le filet de maigre de Méditerranée bénéficie d’une cuisson parfaite sous sa sauce chimichurri exemplaire. En dessert, on hésite entre la pavlova et le cornet à la crème et aux petits fruits. Le tout est porté par une équipe de service enjouée, dirigée par Nadine Rod. Et la carte des vins l’atteste, on est ici chez des épicuriens avertis.


Christophe et Nadine Rod font leur retour dans le GaultMillau. Le chef de la Roseraie à Yvorne (17/20), puis de l’Auberge de Lavaux, membre des Jeunes Restaurateurs d’Europe, a choisi de changer de vie. Excellent cuisinier il est, et il le reste. Mais il a opté pour une offre conviviale dans un chalet charmant et simple, perché sur les hauts de Leysin. La vue est superbe, la maison boisée et, l’été, on mange directement sur l’herbe. Ici, sur les pistes de ski et à la croisée des chemins de randonnée, pas de fondue ou de raclette. Mais, l’hiver, des paninis voluptueux (foie gras et oignons confits, chèvre, saumon fumé) vendus en marge des pistes et qui donnent à eux seuls envie de se remettre au ski! Au resto non plus, Christophe Rod n’a pas renoncé au plaisir d’apprêter des plats gourmands, traditionnels et parfois assez luxueux. Si l’estivale soupe de tomates est rafraîchissante, le tataki de thon est un cran en dessus et offre un exotisme bienvenu. On se régale ensuite des cuisses de grenouilles rehaussées de balsamique et d’herbettes à l’ail. Délicieuses. Les couteaux Laguiole découpent sans peine le filet de bœuf aux oignons entouré de légumes croquants et de frites maison. Et le filet de maigre de Méditerranée bénéficie d’une cuisson parfaite sous sa sauce chimichurri exemplaire. En dessert, on hésite entre la pavlova et le cornet à la crème et aux petits fruits. Le tout est porté par une équipe de service enjouée, dirigée par Nadine Rod. Et la carte des vins l’atteste, on est ici chez des épicuriens avertis.