Restaurant de la Fontaine
Cynthia Alexandre vient de Belgique, Julien Corthésy de La Côte: le couple est arrivé dans le Chablais un peu par hasard, après avoir passé notamment à l’Hôtel Cailler à Charmey, au Mont-Rouge à Nendaz ou aux Alpes à Orsières. Dans ce restaurant au cadre moderne, ils sont à présent chez eux – lui en cuisine, elle en salle – et accueillent leurs clients comme à la maison. Mention spéciale pour l’adaptabilité aux régimes alimentaires spéciaux quand ils sont annoncés à l’avance.
Les couverts sont limités à une vingtaine. La carte affiche trois entrées, trois plats, deux desserts. Le repas débute bien avec le tartare de dorade coupé très fin, la crème au chou-fleur, gourmande et le même légume râpé fondant. Un gel de main de Bouddha donne tonifie l’assiette. De son côté, le poireau vinaigrette est excellent.
Avec une touche d’humour bienvenue, Cynthia annonce la cuisine de Julien. Voici un gigot d’agneau «à la cuillère», effiloché et savoureux, avec son jus sirupeux, ses spaghettis de légumes rigolos et sa croustillante galette de pommes de terre. C’est beau et c’est bon. Le bœuf en ribs et en entrecôte s’entoure d’un jus que l’on sauce avec avidité, alors que la quenelle de patates écrasées dévoile une surprenante fraîcheur. En dessert, on apprécie ces pommes caramélisées, diablement gourmandes, surmontées d’un sorbet au citron et nappées d’une sauce au caramel. Le «Malibu sur assiette» associe, lui, un aérien siphon de Malibu à la crème de coco, de fines tranches d’ananas et un friable crumble.


Cynthia Alexandre vient de Belgique, Julien Corthésy de La Côte: le couple est arrivé dans le Chablais un peu par hasard, après avoir passé notamment à l’Hôtel Cailler à Charmey, au Mont-Rouge à Nendaz ou aux Alpes à Orsières. Dans ce restaurant au cadre moderne, ils sont à présent chez eux – lui en cuisine, elle en salle – et accueillent leurs clients comme à la maison. Mention spéciale pour l’adaptabilité aux régimes alimentaires spéciaux quand ils sont annoncés à l’avance.
Les couverts sont limités à une vingtaine. La carte affiche trois entrées, trois plats, deux desserts. Le repas débute bien avec le tartare de dorade coupé très fin, la crème au chou-fleur, gourmande et le même légume râpé fondant. Un gel de main de Bouddha donne tonifie l’assiette. De son côté, le poireau vinaigrette est excellent.
Avec une touche d’humour bienvenue, Cynthia annonce la cuisine de Julien. Voici un gigot d’agneau «à la cuillère», effiloché et savoureux, avec son jus sirupeux, ses spaghettis de légumes rigolos et sa croustillante galette de pommes de terre. C’est beau et c’est bon. Le bœuf en ribs et en entrecôte s’entoure d’un jus que l’on sauce avec avidité, alors que la quenelle de patates écrasées dévoile une surprenante fraîcheur. En dessert, on apprécie ces pommes caramélisées, diablement gourmandes, surmontées d’un sorbet au citron et nappées d’une sauce au caramel. Le «Malibu sur assiette» associe, lui, un aérien siphon de Malibu à la crème de coco, de fines tranches d’ananas et un friable crumble.