Café Zinette
Cette petite maison qui portait autrefois le nom d’Auberge des Communes Réunies a d’ailleurs conservé son enseigne peinte sur sa façade comme un vestige du passé. Devenu Café Zinette, ce charmant restaurant, ouvert du lundi au vendredi, est la halte rêvée pour s’encanailler de quelques recettes bistrotières. Accompagnées, si affinités, de flacons amoureusement sélectionnés, dont quelques belles découvertes de vins naturels. Passé le bar en zinc, on grimpe à l’étage pour découvrir la carte. Réduite à l’essentiel, trois entrées, quatre plats et autant de desserts, elle s’enrichit chaque midi d’un plat du jour pour les gourmets pressés. Choisie en entrée, une pâte feuilletée fine et croustillante arrive rehaussée de quelques tranches de boudin noir grillé à demi cachées par une compotée de pommes et quelques bâtonnets de granny smith croquante. Un duo charcutier salé-acidulé classique, relevé par quelques graines de moutarde et pickles d’oignon rouge pour une entrée en matière savoureuse et régressive. La truite du Jura, cuisinée façon gravlax, amène son lot de surprises avec sa chiffonnade de fenouil croquant assaisonnée de mascarpone et de cédrat frais. Pour suivre, le suprême de volaille estampillé Genève Terroir, moelleux et juteux, s’ennoblit d’une sauce au foie gras et de quelques cardons saupoudrés de noisettes torréfiées pour un plat rustique et efficace. En revanche, le poisson du jour, surcuit, a péché par excès de garniture, soit du brocoli décliné en gnocchis, en purée et vapeur. En dessert, la très surprenante «Pollentarte», exclusivité maison, composée d’une corolle de pâte parfaitement feuilletée garnie d’une compotée de pommes en brunoise et d’une émulsion de polenta au miel saupoudrée de pollen nous a rappelé qu’il n’est jamais, au grand jamais, déraisonnable de succomber à la tentation.
Cette petite maison qui portait autrefois le nom d’Auberge des Communes Réunies a d’ailleurs conservé son enseigne peinte sur sa façade comme un vestige du passé. Devenu Café Zinette, ce charmant restaurant, ouvert du lundi au vendredi, est la halte rêvée pour s’encanailler de quelques recettes bistrotières. Accompagnées, si affinités, de flacons amoureusement sélectionnés, dont quelques belles découvertes de vins naturels. Passé le bar en zinc, on grimpe à l’étage pour découvrir la carte. Réduite à l’essentiel, trois entrées, quatre plats et autant de desserts, elle s’enrichit chaque midi d’un plat du jour pour les gourmets pressés. Choisie en entrée, une pâte feuilletée fine et croustillante arrive rehaussée de quelques tranches de boudin noir grillé à demi cachées par une compotée de pommes et quelques bâtonnets de granny smith croquante. Un duo charcutier salé-acidulé classique, relevé par quelques graines de moutarde et pickles d’oignon rouge pour une entrée en matière savoureuse et régressive. La truite du Jura, cuisinée façon gravlax, amène son lot de surprises avec sa chiffonnade de fenouil croquant assaisonnée de mascarpone et de cédrat frais. Pour suivre, le suprême de volaille estampillé Genève Terroir, moelleux et juteux, s’ennoblit d’une sauce au foie gras et de quelques cardons saupoudrés de noisettes torréfiées pour un plat rustique et efficace. En revanche, le poisson du jour, surcuit, a péché par excès de garniture, soit du brocoli décliné en gnocchis, en purée et vapeur. En dessert, la très surprenante «Pollentarte», exclusivité maison, composée d’une corolle de pâte parfaitement feuilletée garnie d’une compotée de pommes en brunoise et d’une émulsion de polenta au miel saupoudrée de pollen nous a rappelé qu’il n’est jamais, au grand jamais, déraisonnable de succomber à la tentation.