
Café de Peney
Vous n’avez pas réservé votre repas de midi au Café de Peney? Assurez-vous de vous rendre assez tôt dans cet établissement au charme d’antan. Car même le vendredi midi, jour de télétravail par excellence, les salles sont pleines. Toutefois, le service reste chaleureux et accueillant, expliquant volontiers les plats du chef Yannick Geoffroy.
Classique sur papier, sa carte de bistrot donne pourtant lieu à quelques surprises à table. L’onctueux velouté de courge se pare bien de graines de courge et d’éclats de châtaignes, mais aussi de généreux croûtons et d’une légère émulsion crémée. Sympa! Le tartare de bœuf, coupé un peu trop fin, reste intéressant avec une saveur franche et divers éléments croquants. En remplacement des frites, une mousseline de pommes de terre au bon goût de beurre fait le travail. Les joues de cochon braisées au gamaret suivent avec gourmandise, déposées sur la même mousseline, escortées de sommités de romanesco et généreusement accompagnées d’une sauce ample et concentrée.
On termine avec le dessert du jour, une croustillante tartelette aux pommes, surmontée d’une boule de glace au caramel au beurre salé. A l’instar de cette note sucrée qui fait du bien mais qui ne laissera cependant pas un souvenir impérissable, la cuisine de bistrot du chef est bien faite, mais elle ne laisse pas un effet waouh.
Vous n’avez pas réservé votre repas de midi au Café de Peney? Assurez-vous de vous rendre assez tôt dans cet établissement au charme d’antan. Car même le vendredi midi, jour de télétravail par excellence, les salles sont pleines. Toutefois, le service reste chaleureux et accueillant, expliquant volontiers les plats du chef Yannick Geoffroy.
Classique sur papier, sa carte de bistrot donne pourtant lieu à quelques surprises à table. L’onctueux velouté de courge se pare bien de graines de courge et d’éclats de châtaignes, mais aussi de généreux croûtons et d’une légère émulsion crémée. Sympa! Le tartare de bœuf, coupé un peu trop fin, reste intéressant avec une saveur franche et divers éléments croquants. En remplacement des frites, une mousseline de pommes de terre au bon goût de beurre fait le travail. Les joues de cochon braisées au gamaret suivent avec gourmandise, déposées sur la même mousseline, escortées de sommités de romanesco et généreusement accompagnées d’une sauce ample et concentrée.
On termine avec le dessert du jour, une croustillante tartelette aux pommes, surmontée d’une boule de glace au caramel au beurre salé. A l’instar de cette note sucrée qui fait du bien mais qui ne laissera cependant pas un souvenir impérissable, la cuisine de bistrot du chef est bien faite, mais elle ne laisse pas un effet waouh.



