Café de Peney
Le Café de Peney a tout du café d’antan avec son sol en céramique, ses tableaux et affiches rétros et son mobilier de bistrot. La terrasse de gravier ombragée est un must en été. De plus, le service y est prodigué avec bonhomie.
La carte offre de belles réjouissances, qui oscillent entre cuisine traditionnelle et gastronomie que le chef, Yannick Geoffroy, sait apprêter avec finesse et gourmandise.
Pour une entrée en fraîcheur, la salade de haricots verts croquants mêle foie gras frais et lamelles de granny smith avec finesse. On apprécie aussi les notes marines d’une Saint-Jacques fumée et snackée délicatement parfumée par un jus infusé au kombu ou le pavé de sandre à l’unilatérale déposé sur une compotée d’endives et agrémenté d’une émulsion à l’orange.
Le côté brasserie de la carte s’illustre notamment avec cette bouchée à la reine, au feuilleté parfaitement croustillant, garnie d’une fricassée de ris de veau rôti au beurre et de champignons. Mais ce sont les cuisses de grenouilles, à déguster du bout des doigts, généreusement servies et persillées, qui remportent tous les suffrages. Les classiques, comme la poitrine de veau cuite à basse température ou les joues de porc braisées, sont tendres et réconfortants. Le tout sublimé par cette fameuse mousseline de pommes de terre gourmande et onctueuse.
Seule fausse note: les desserts, hors saison et hors sujet. La charlotte aux clémentines était sèche et sans saveur, tout comme la salade d’agrumes.
Carte des vins bien pensée avec quelques jolis crus genevois.
Le Café de Peney a tout du café d’antan avec son sol en céramique, ses tableaux et affiches rétros et son mobilier de bistrot. La terrasse de gravier ombragée est un must en été. De plus, le service y est prodigué avec bonhomie.
La carte offre de belles réjouissances, qui oscillent entre cuisine traditionnelle et gastronomie que le chef, Yannick Geoffroy, sait apprêter avec finesse et gourmandise.
Pour une entrée en fraîcheur, la salade de haricots verts croquants mêle foie gras frais et lamelles de granny smith avec finesse. On apprécie aussi les notes marines d’une Saint-Jacques fumée et snackée délicatement parfumée par un jus infusé au kombu ou le pavé de sandre à l’unilatérale déposé sur une compotée d’endives et agrémenté d’une émulsion à l’orange.
Le côté brasserie de la carte s’illustre notamment avec cette bouchée à la reine, au feuilleté parfaitement croustillant, garnie d’une fricassée de ris de veau rôti au beurre et de champignons. Mais ce sont les cuisses de grenouilles, à déguster du bout des doigts, généreusement servies et persillées, qui remportent tous les suffrages. Les classiques, comme la poitrine de veau cuite à basse température ou les joues de porc braisées, sont tendres et réconfortants. Le tout sublimé par cette fameuse mousseline de pommes de terre gourmande et onctueuse.
Seule fausse note: les desserts, hors saison et hors sujet. La charlotte aux clémentines était sèche et sans saveur, tout comme la salade d’agrumes.
Carte des vins bien pensée avec quelques jolis crus genevois.