
Café de Certoux
A quelques encablures de la frontière française et de Plan-les-Ouates, le Café de Certoux peut compter sur une belle clientèle d’habitués et de gourmets qui accourent pour goûter aux délices du chef Sébastien Vaillend. Des plats magistralement mariés à des crus sélectionnés avec soin par Grégory Lalin dans toutes les régions de Suisse et au-delà.
Cette charmante auberge dispose d’une bien jolie terrasse à la belle saison. A l’intérieur, la cuisine est visible au travers de grandes vitres. La carte est brève, alliant propositions maritimes, végétariennes ou du boucher. Les convives ont le choix entre quatre entrées, cinq plats et trois desserts, sans oublier le chariot de fromages.
On entame un joli festin par une bouchée de pain perdu agrémentée d’un rapicolant beurre d’agrumes à l’anchois. Puis les Saint-Jacques sont snackées à la perfection. Mêlées à un tartare de couteaux et à d’exquis salsifis rôtis, elles sont rehaussées d’un beurre blanc au champagne et à la bergamote. Les escargots de Bourgogne, eux, sont plongés dans un savoureux coulis d’orties dont l’acidité contrebalance le côté terreux du gastéropode. Une royale aux herbes fraîches et un craquant bricelet couronnent ce chef-d’œuvre de gourmandise.
Arrivent ensuite l’endive travaillée en tarte, alliée au comté et à un sabayon au vin jaune du Jura. La pâte est exquise. On peine cependant à ne pas massacrer ce joli plat dont la découpe s’avère difficile, sans rien ôter à l’alliance réussie des saveurs. On relèvera encore la parfaite cuisson du ris de veau juché sur un lit de topinambour croquant et de noisettes, et nappé d’un siphon de panais et d’une sauce Périgueux.
Côté desserts, on a adoré le moelleux au chocolat et sa divine quenelle de glace à la vanille.
Une bien belle adresse en campagne!


A quelques encablures de la frontière française et de Plan-les-Ouates, le Café de Certoux peut compter sur une belle clientèle d’habitués et de gourmets qui accourent pour goûter aux délices du chef Sébastien Vaillend. Des plats magistralement mariés à des crus sélectionnés avec soin par Grégory Lalin dans toutes les régions de Suisse et au-delà.
Cette charmante auberge dispose d’une bien jolie terrasse à la belle saison. A l’intérieur, la cuisine est visible au travers de grandes vitres. La carte est brève, alliant propositions maritimes, végétariennes ou du boucher. Les convives ont le choix entre quatre entrées, cinq plats et trois desserts, sans oublier le chariot de fromages.
On entame un joli festin par une bouchée de pain perdu agrémentée d’un rapicolant beurre d’agrumes à l’anchois. Puis les Saint-Jacques sont snackées à la perfection. Mêlées à un tartare de couteaux et à d’exquis salsifis rôtis, elles sont rehaussées d’un beurre blanc au champagne et à la bergamote. Les escargots de Bourgogne, eux, sont plongés dans un savoureux coulis d’orties dont l’acidité contrebalance le côté terreux du gastéropode. Une royale aux herbes fraîches et un craquant bricelet couronnent ce chef-d’œuvre de gourmandise.
Arrivent ensuite l’endive travaillée en tarte, alliée au comté et à un sabayon au vin jaune du Jura. La pâte est exquise. On peine cependant à ne pas massacrer ce joli plat dont la découpe s’avère difficile, sans rien ôter à l’alliance réussie des saveurs. On relèvera encore la parfaite cuisson du ris de veau juché sur un lit de topinambour croquant et de noisettes, et nappé d’un siphon de panais et d’une sauce Périgueux.
Côté desserts, on a adoré le moelleux au chocolat et sa divine quenelle de glace à la vanille.
Une bien belle adresse en campagne!


