Auberge Communale La Balance
Depuis le départ de Michael Texier en 2021, cette auberge communale est menée par Joanne et Julien Leclerre, elle en salle, lui en cuisine. Elle n’a rien perdu de son hospitalité: accueil chaleureux et cadre cosy. Le chef propose ici une cuisine originale, pleine d’inventivité, basée sur une belle palette de produits locaux.
Ainsi cette revisite d’une belle vaudoiserie, le papet, décliné comme un nem de saucisse aux choux, à plonger telle une mouillette dans une émulsion de pommes de terre sur un fond de poireaux fondants et garni d’oignons frits. C’est simple et régressif.
Les plats végétariens ont aussi leur place à la carte avec ce cannelloni d'aubergine au yaourt grec et son coulis à l’ail des ours tout en fraîcheur. Ou encore la tourte aux blettes et ricotta truffée (la truffe est sans intérêt), garnie de pignons et de rucola.
Petit détour maritime, le surprenant crostino au carpaccio de Saint-Jacques, pimpé par des piquillos et une salsa ticinese, offre un joli contraste de textures et de belles notes iodées. De même, ce filet de dorade sur une compotée de fenouil combiné aux miettes de crabe, dans une belle sauce.
Le chou farci à la joue de bœuf se révèle évidemment plus terroir. Il est accompagné par des gnocchis à la romaine, basilic et relevé par une harissa fraîche.
Pour les douceurs, les quelques propositions sont toutes alléchantes. Le cheesecake aux spéculos et myrtilles, associé au jus de calamansi, fait particulièrement belle impression.
Lorsqu’on ajoute à ces délices une sélection très intelligente d’excellents crus de la région, tout invite à y revenir, d’autant plus que la carte évolue au gré des saisons.


Depuis le départ de Michael Texier en 2021, cette auberge communale est menée par Joanne et Julien Leclerre, elle en salle, lui en cuisine. Elle n’a rien perdu de son hospitalité: accueil chaleureux et cadre cosy. Le chef propose ici une cuisine originale, pleine d’inventivité, basée sur une belle palette de produits locaux.
Ainsi cette revisite d’une belle vaudoiserie, le papet, décliné comme un nem de saucisse aux choux, à plonger telle une mouillette dans une émulsion de pommes de terre sur un fond de poireaux fondants et garni d’oignons frits. C’est simple et régressif.
Les plats végétariens ont aussi leur place à la carte avec ce cannelloni d'aubergine au yaourt grec et son coulis à l’ail des ours tout en fraîcheur. Ou encore la tourte aux blettes et ricotta truffée (la truffe est sans intérêt), garnie de pignons et de rucola.
Petit détour maritime, le surprenant crostino au carpaccio de Saint-Jacques, pimpé par des piquillos et une salsa ticinese, offre un joli contraste de textures et de belles notes iodées. De même, ce filet de dorade sur une compotée de fenouil combiné aux miettes de crabe, dans une belle sauce.
Le chou farci à la joue de bœuf se révèle évidemment plus terroir. Il est accompagné par des gnocchis à la romaine, basilic et relevé par une harissa fraîche.
Pour les douceurs, les quelques propositions sont toutes alléchantes. Le cheesecake aux spéculos et myrtilles, associé au jus de calamansi, fait particulièrement belle impression.
Lorsqu’on ajoute à ces délices une sélection très intelligente d’excellents crus de la région, tout invite à y revenir, d’autant plus que la carte évolue au gré des saisons.