Café du Tilleul
Chez Stéphane Nogueira, jeune chef trentenaire aux origines lusitaniennes, et Marisa Sintrao tout est fait maison, à base de produits frais et de saison. Le chef y met toute son âme et sa passion. Il en résulte une cuisine authentique, généreuse et colorée, aux accents du terroir, avec quelques clins d’œil vers la gastronomie portugaise.
Les escalopes de foie gras bien grillées et fondantes à cœur auraient été parfaites si elles n’avaient pas été servies tièdes. Le délicieux confit de kumquats et la pimpante salade de jeunes feuilles ont eu de la peine à faire oublier tout le gras qui s’était écoulé dans l’assiette. Plus abouties, les coquilles Saint-Jacques, parfaitement saisies, charnues et nacrées, trônent sur un lit de riz venere, nappées d’une crémeuse bisque de homard. C’est délicieux et joliment décoré d’une chips de manioc. Plus canailles, les os à moelle de bœuf rôtis au basilic et au sel des Alpes ravissent les amateurs. Le tendre filet d’agneau pané aux fines herbes est servi rosé avec une sauce au porto, son bouquet de légumes frais et une mousseline de patates douces. La cataplana de porc aux vongole et les savoureux tentacules de poulpe poêlés nous emmènent sur les côtes portugaises et rappellent les vacances. Les jeunes gastronomes ne sont pas oubliés. Une carte aux énoncés pleins d’humour leur est dédiée. Les desserts sont traditionnels: café gourmand sur une palette de chantier au format miniature et mention spéciale à la panna cota en sauce caramel et cristaux de fleur de sel.
Chez Stéphane Nogueira, jeune chef trentenaire aux origines lusitaniennes, et Marisa Sintrao tout est fait maison, à base de produits frais et de saison. Le chef y met toute son âme et sa passion. Il en résulte une cuisine authentique, généreuse et colorée, aux accents du terroir, avec quelques clins d’œil vers la gastronomie portugaise.
Les escalopes de foie gras bien grillées et fondantes à cœur auraient été parfaites si elles n’avaient pas été servies tièdes. Le délicieux confit de kumquats et la pimpante salade de jeunes feuilles ont eu de la peine à faire oublier tout le gras qui s’était écoulé dans l’assiette. Plus abouties, les coquilles Saint-Jacques, parfaitement saisies, charnues et nacrées, trônent sur un lit de riz venere, nappées d’une crémeuse bisque de homard. C’est délicieux et joliment décoré d’une chips de manioc. Plus canailles, les os à moelle de bœuf rôtis au basilic et au sel des Alpes ravissent les amateurs. Le tendre filet d’agneau pané aux fines herbes est servi rosé avec une sauce au porto, son bouquet de légumes frais et une mousseline de patates douces. La cataplana de porc aux vongole et les savoureux tentacules de poulpe poêlés nous emmènent sur les côtes portugaises et rappellent les vacances. Les jeunes gastronomes ne sont pas oubliés. Une carte aux énoncés pleins d’humour leur est dédiée. Les desserts sont traditionnels: café gourmand sur une palette de chantier au format miniature et mention spéciale à la panna cota en sauce caramel et cristaux de fleur de sel.