Café du Tilleul
Stéphane Nogueira, 32 ans, a repris cette aimable auberge de village qui vient d’être rénovée avec une agréable sobriété d’une élégance nordique. Entouré d’une équipe sympathique et motivée, tant en salle qu’en cuisine, le chef poursuit sa route avec une cuisine généreuse, pas forcément légère, qui a le grand mérite d’être entièrement réalisée maison.
On y trouve des clins d’œil locaux et d’autres qui rappellent les origines lusitaniennes du chef, né en Suisse mais formé au Portugal. De chez lui, on apprécie les coques aux échalotes et au vin blanc, qui supporteraient une touche d’assaisonnement supplémentaire. On regrette que, avec les asperges de la nouvelle carte de printemps, la béarnaise en espuma ne soit pas disponible. Les perches, elles, sont plaisantes, avec leurs frites savoureuses. Puis le cordon-bleu de poulet aux écrevisses est bien croustillant et le tartare de bœuf exemplaire.
On salue l’offre pour les enfants et ses intitulés pleins d’humour. Et on finit par un baba au rhum aux fraises et à la chantilly suave mais pas très ferme.
Stéphane Nogueira, 32 ans, a repris cette aimable auberge de village qui vient d’être rénovée avec une agréable sobriété d’une élégance nordique. Entouré d’une équipe sympathique et motivée, tant en salle qu’en cuisine, le chef poursuit sa route avec une cuisine généreuse, pas forcément légère, qui a le grand mérite d’être entièrement réalisée maison.
On y trouve des clins d’œil locaux et d’autres qui rappellent les origines lusitaniennes du chef, né en Suisse mais formé au Portugal. De chez lui, on apprécie les coques aux échalotes et au vin blanc, qui supporteraient une touche d’assaisonnement supplémentaire. On regrette que, avec les asperges de la nouvelle carte de printemps, la béarnaise en espuma ne soit pas disponible. Les perches, elles, sont plaisantes, avec leurs frites savoureuses. Puis le cordon-bleu de poulet aux écrevisses est bien croustillant et le tartare de bœuf exemplaire.
On salue l’offre pour les enfants et ses intitulés pleins d’humour. Et on finit par un baba au rhum aux fraises et à la chantilly suave mais pas très ferme.