Au Coq en Pâte
Le patio du Coq en Pâte vaut le détour, il abrite un petit bijou de terrasse. On s’y attable entre loggia, escalier en colimaçon et une multitude de fenêtres différentes, dans un décor de palais italien. S’y ajoute un accueil chaleureux et bienveillant. La carte se limite à quelques propositions simples, franches et aguichantes, complétées par quelques envies du jour. Le parcours de Benjamin Vuigner, entre la Sitterie et le Mont-Rouge de Nendaz, lui a permis de créer un lieu qui porte son empreinte avec un trait d’originalité.
Après une petite bouchée de ce chou farci aux oignons compotés et lamelles de magret, relevé de crème à l’ail des ours, le carpaccio de foie gras et aubergine se profile en plat phare du Coq en Pâte. L’aubergine manque un peu de présence, mais l’ensemble est savoureux en bouche. La marinade au balsamique se marie particulièrement bien avec le foie gras.
Suit le cabillaud à la peau croquante et à la chair fondante. Il se voit agréablement bousculé par un sorbet à la tomate qui surprend par sa douceur. Il retrouve l’équilibre avec cette sauce aux poivrons qui ferait chanter les cigales, agrémentée d’olives et d’une concassée de tomates.
Les plats de viande paraissent plus classiques avec leurs accompagnements tels que la polenta poêléeou la jardinière de légumes. Mais les cuissons et les sauces font la différence. Que ce soit le porc confit et sa sauce au gin qui apporte une agréable amertume poivrée ou le suprême de volaille sublimé par les effluves de curry, sésame et gingembre.
En amateur de jolis crus locaux, le chef a élaboré une carte des vins riche en belles découvertes.
Elodie, la chef pâtissière, ne manque pas de fantaisie non plus, avec sa forêt-noire revisitée comme un dôme qui arrive nappé de chocolat et garni de chantilly avec un insert à la griotte. Le sablé et ses crèmes citron et myrtille se présente tout en couleurs éclatantes et en sensations acidulées.


Le patio du Coq en Pâte vaut le détour, il abrite un petit bijou de terrasse. On s’y attable entre loggia, escalier en colimaçon et une multitude de fenêtres différentes, dans un décor de palais italien. S’y ajoute un accueil chaleureux et bienveillant. La carte se limite à quelques propositions simples, franches et aguichantes, complétées par quelques envies du jour. Le parcours de Benjamin Vuigner, entre la Sitterie et le Mont-Rouge de Nendaz, lui a permis de créer un lieu qui porte son empreinte avec un trait d’originalité.
Après une petite bouchée de ce chou farci aux oignons compotés et lamelles de magret, relevé de crème à l’ail des ours, le carpaccio de foie gras et aubergine se profile en plat phare du Coq en Pâte. L’aubergine manque un peu de présence, mais l’ensemble est savoureux en bouche. La marinade au balsamique se marie particulièrement bien avec le foie gras.
Suit le cabillaud à la peau croquante et à la chair fondante. Il se voit agréablement bousculé par un sorbet à la tomate qui surprend par sa douceur. Il retrouve l’équilibre avec cette sauce aux poivrons qui ferait chanter les cigales, agrémentée d’olives et d’une concassée de tomates.
Les plats de viande paraissent plus classiques avec leurs accompagnements tels que la polenta poêléeou la jardinière de légumes. Mais les cuissons et les sauces font la différence. Que ce soit le porc confit et sa sauce au gin qui apporte une agréable amertume poivrée ou le suprême de volaille sublimé par les effluves de curry, sésame et gingembre.
En amateur de jolis crus locaux, le chef a élaboré une carte des vins riche en belles découvertes.
Elodie, la chef pâtissière, ne manque pas de fantaisie non plus, avec sa forêt-noire revisitée comme un dôme qui arrive nappé de chocolat et garni de chantilly avec un insert à la griotte. Le sablé et ses crèmes citron et myrtille se présente tout en couleurs éclatantes et en sensations acidulées.