
Hôtel Bristol Genève
Depuis que le chef franc-comtois d’origine Christophe Pagnot a repris les fourneaux du Bristol, en 2024, c’est à un véritable festival gourmand que l’on assiste. La carte du midi change toutes les semaines pour coller au mieux aux saisons et inciter le client à revenir. Les convives ont le choix entre quatre entrées, quatre plats – dont une option végétarienne – et quatre desserts. Le tout à des prix canon, avec en prime l’eau minérale et le café compris.
L’adresse attire les foules, particulièrement au déjeuner. Il faut dire que le chef maîtrise toutes les gammes, de la cuisine française aux saveurs plus voyageuses. Ses plats affichent une ligne claire.
L’œuf meurette, cuit à la perfection, est servi sur une tranche de pain nordique. Il flirte avec une délicate poitrine de cochon confite à l’ail des ours et un jus court et sapide au vin rouge. Un régal, tout comme ces divines premières asperges des Landes, proposées avec une rapicolante salade de cresson des fontaines, un condiment aux échalotes et vin rouge, et un trait de balsamique blanc de Modène réduit.
Côté plat de résistance, on craque pour ce secreto ibérique, laqué au miel et au paprika fumé. Une viande moelleuse à souhait à laquelle répond avec brio une goûteuse déclinaison de poivron et de maïs en différentes textures. Le dos de cabillaud est, lui, magnifié par une fine hollandaise à la salicorne et un exquis caviar de courgette blanche.
On retiendra encore cette tarte fine à la pomme dont le feuilleté de la pâte fond agréablement en bouche, et cette quenelle divine de glace vanille.
Service prévenant.


Depuis que le chef franc-comtois d’origine Christophe Pagnot a repris les fourneaux du Bristol, en 2024, c’est à un véritable festival gourmand que l’on assiste. La carte du midi change toutes les semaines pour coller au mieux aux saisons et inciter le client à revenir. Les convives ont le choix entre quatre entrées, quatre plats – dont une option végétarienne – et quatre desserts. Le tout à des prix canon, avec en prime l’eau minérale et le café compris.
L’adresse attire les foules, particulièrement au déjeuner. Il faut dire que le chef maîtrise toutes les gammes, de la cuisine française aux saveurs plus voyageuses. Ses plats affichent une ligne claire.
L’œuf meurette, cuit à la perfection, est servi sur une tranche de pain nordique. Il flirte avec une délicate poitrine de cochon confite à l’ail des ours et un jus court et sapide au vin rouge. Un régal, tout comme ces divines premières asperges des Landes, proposées avec une rapicolante salade de cresson des fontaines, un condiment aux échalotes et vin rouge, et un trait de balsamique blanc de Modène réduit.
Côté plat de résistance, on craque pour ce secreto ibérique, laqué au miel et au paprika fumé. Une viande moelleuse à souhait à laquelle répond avec brio une goûteuse déclinaison de poivron et de maïs en différentes textures. Le dos de cabillaud est, lui, magnifié par une fine hollandaise à la salicorne et un exquis caviar de courgette blanche.
On retiendra encore cette tarte fine à la pomme dont le feuilleté de la pâte fond agréablement en bouche, et cette quenelle divine de glace vanille.
Service prévenant.


