Restaurant du Club Nautique
Le Mont-Blanc au loin, le clapotis des vagues du Léman comme doux murmure, que demander de plus? Le restaurant du Club nautique est l’adresse morgienne incontournable des amateurs de panoramas envoûtants et de bonne cuisine dans un cadre chaleureux et sympathique. La carte propose un joli «Menu dégustation» et un florilège de propositions mettant en valeur des ingrédients d’ici et d’ailleurs.
On débute par une goûteuse raviole au fromage du Jorat affiné à la bière, agrémentée d’une ribambelle de girolles et d’écume de cerfeuil. On applaudit la précision des goûts. Quant aux noix de Saint-Jacques poêlées au café, elles sont cuites à la perfection et la mousseline d’artichaut leur donne une savoureuse réplique.
Dans le registre des plats principaux, c’est la déception qui prime. La côte de veau est servie trop cuite, les légumes qui l’accompagnent sont insipides et le millefeuille de pomme de terre a un goût de réchauffé. Trop cuits également, les pavés de féra du Léman sont servis avec un trop lourd sabayon au chorizo. Dommage.
On se console avec un baba au kirsch et aux cerises. Service prévenant et carte des vins bien garnie.


Le Mont-Blanc au loin, le clapotis des vagues du Léman comme doux murmure, que demander de plus? Le restaurant du Club nautique est l’adresse morgienne incontournable des amateurs de panoramas envoûtants et de bonne cuisine dans un cadre chaleureux et sympathique. La carte propose un joli «Menu dégustation» et un florilège de propositions mettant en valeur des ingrédients d’ici et d’ailleurs.
On débute par une goûteuse raviole au fromage du Jorat affiné à la bière, agrémentée d’une ribambelle de girolles et d’écume de cerfeuil. On applaudit la précision des goûts. Quant aux noix de Saint-Jacques poêlées au café, elles sont cuites à la perfection et la mousseline d’artichaut leur donne une savoureuse réplique.
Dans le registre des plats principaux, c’est la déception qui prime. La côte de veau est servie trop cuite, les légumes qui l’accompagnent sont insipides et le millefeuille de pomme de terre a un goût de réchauffé. Trop cuits également, les pavés de féra du Léman sont servis avec un trop lourd sabayon au chorizo. Dommage.
On se console avec un baba au kirsch et aux cerises. Service prévenant et carte des vins bien garnie.