Obeirut
Racheté en 2020 par le jeune homme d'affaires Mehdi Lograda, ce restaurant lancé il y a une quinzaine d’années a retrouvé tout son lustre une fois la pandémie de covid passée. C’est désormais Alan Geaam, le chef du meilleur libanais de Paris, qui signe les cartes au fil des saisons, alors qu’Ali Ammoun, venu de Beyrouth, est aux fourneaux à Lausanne.
La magie opère dès l’arrivée des divines petites saucisses au harissa. Le taboulé est élégamment servi drapé d’une feuille de chou rouge et émaillé de grains de grenade. Le moutabal est parfait, crémeux à se damner. Le falafel arrive idéalement croustillant. Et le houmous est délicieusement épicé. Sans oublier les cigares au fromage, exquis. Alors on poursuit avec ce chiche taouk (poulet) passé au gril avec des épices fortes et servi avec une mousse d’ail aérienne. Ou avec le gourmand chawarma lahmé (agneau effiloché) aux kumquats, pistaches et noix de cajou. Même le riz évoque les Mille et une nuits. Les bonnes surprises se poursuivent jusqu’aux desserts, avec un flan délicieux et un millefeuille aux cheveux d’ange et à la pistache, tous deux nimbés de fleur d’oranger.
Racheté en 2020 par le jeune homme d'affaires Mehdi Lograda, ce restaurant lancé il y a une quinzaine d’années a retrouvé tout son lustre une fois la pandémie de covid passée. C’est désormais Alan Geaam, le chef du meilleur libanais de Paris, qui signe les cartes au fil des saisons, alors qu’Ali Ammoun, venu de Beyrouth, est aux fourneaux à Lausanne.
La magie opère dès l’arrivée des divines petites saucisses au harissa. Le taboulé est élégamment servi drapé d’une feuille de chou rouge et émaillé de grains de grenade. Le moutabal est parfait, crémeux à se damner. Le falafel arrive idéalement croustillant. Et le houmous est délicieusement épicé. Sans oublier les cigares au fromage, exquis. Alors on poursuit avec ce chiche taouk (poulet) passé au gril avec des épices fortes et servi avec une mousse d’ail aérienne. Ou avec le gourmand chawarma lahmé (agneau effiloché) aux kumquats, pistaches et noix de cajou. Même le riz évoque les Mille et une nuits. Les bonnes surprises se poursuivent jusqu’aux desserts, avec un flan délicieux et un millefeuille aux cheveux d’ange et à la pistache, tous deux nimbés de fleur d’oranger.